LE VP, EN CHARGE DE L’ECONOMIE, SERAIT VICTIME D’UNE RAPINE A NAIROBI.
25 janv. 2017Par SYSA
La situation commence à être sérieuse. Ici en Europe, il y a une chanson avec laquelle on berce les enfants, qui s’intitule, « Au claire de la lune, mon ami Pierrot… ». Et c’est une chanson qui est rependue un peu partout dans le monde francophone. Là, le peuple comorien, doit être bercé par une qui devrait être intitulée « Au Pays de la tune, une somme dérobée »… Dur, les autorités comoriennes deviennent facilement "déplumables".
Il y a quelques jours, le Vice-président en charge de l’économie, du plan, de l'énergie, de l'artisanat, du secteur privé, des investissements, de tourisme et des affaires foncières, Mr Djaffar, AHMED Said se trouvait en voyage officiel à l’extérieur. Ce qui lui aurait valu un séjour dans le loge VIP à Nairobi. Oui, les officiels méritent l’urbanité avec toute sécurité car eux aussi peuvent en faire maniement. C’est ça les règles d’un pays qui se veut émergent et qui respecte le sens d’un Etat… Et là, les Cauchemars s’ abattent sur les hommes du paradis, pour éviter de dire le « Cauchemars au Paradis ».
« Le mystère de l’affaire »
Alors, le Vice-président serait victime d'un vol d’une somme importante. Mais au moment où l’exactitude de cette somme n’a été donnée, on reste prudent, donc on ne peut pas la fixer. Disons donc de l’argent tout court. C’était précisément dans le selon VIP à Nairobi... Le Vice-président aurait appelé l'Agence Kenya – Airwayz de Moroni pour lui faire état de la situation. Donc informer de l'incident. Mais ce qui reste aussi mystérieux, ...il aurait exigé que le responsable de l'agence passe à son bureau… pour faire quoi exactement ?
Sinon, un mystère qui laisse sans comprendre le rapport entre ce qui se passerait à Nairobi et le responsable de l’Agence à Moroni, sachant que ce serait bien un sac, plein de magot qui aurait été dérobé. Mais somme de combien ? Personne ne sait, comme susmentionné. Il serait aussi responsable de définir la situation du salon, la fréquentation et qui s y trouvait avec qui… ? Mais bon, les nuages sont faits pour se réfugier contre l’ éblouissement. Malgré-cela, ne serait-il pas idéal de faire une déclaration de vol, sur place à Nairobi pour la rectitude du fait ? Peut-être c’était le cas pour cet homme de justice, disons. Et si ce n’était pas le cas ? Pour le changement que le pays souhaite et que le chef de l’Etat promet, le fait qu’une autorité voyage avec elle de l’argent de l’Etat en liquide, encore est parmi les nouvelles mésures pises pour la bonne gouvernance ou peut-on dire de cela, un héritage d’un temps révolu ?
« Droit au soupçon »
Seul indice, sur la somme est que le Vice-président aurait confié à l’opérateur avec lequel, il serait en communication ceci :« Si je te dis la somme qui était dans le sac, dérobé, tu aurais piqué une crise ». C’est déjà pas mal d’avoir cette conscience, en tout cas cette foi, de ne pas révéler la somme, car on n’a pas besoin de mort… et El-maarouf n’a pas la prédisposition d’accueillir ce genre de crise. Même si on est reconnaissant… mais cela ne débusque pas le droit au soupçon. Une question se pose ; inconscience, oublie, ou un train qui en cache un autre ? Personne ne sait.
SAID YASSINE Said Ahmed
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