S'ils pensaient qu'étant préoccupés par l’apocalypse du Covid-19, que nous sommes, nous ne parlerons  pas d'autres sérieux problèmes desquels notre petit archipel est victime, ils se trompent. Comme nous comoriens parlons et tentons à lutter contre le Covid-19... afin de vouloir sauver les nôtres, l'autre méchant virus dont le régime en place aux Comores est aussi à battre. Il faut en parler, car cette assemblée est l’acte de décès de de notre pays. Des lois kamikazes sans balancier y seront à l'oeuvre. Le feu atteint le toit de la maison Comores.

Même si un malheur sans surprise, mais le choix de Moustadrane Abdou au sommet du perchoir des Comores en ruine, c'est bien le tombeau d'une nation assassinée depuis quatre ans. Déjà avec ses députés adultérins, choisis le 19/01/2020 et le 23/02/2020 au détriment de l’honneur et de la gloire du peuple comorien, ce vendredi 03/04/2020, les Comores sont frappées à nouveau dans ses poumons. Mes pansées à nos frères qui souffrent dans les sinistres cachots de notre pays, victimes de l’injustice et qui continueront à souffrir du moment que ce socle de mal fait l'hémicycle.    

Avec une pèle dont la marque est Moustadrane, le colonel ensevelit tranquillement le pays à l'assistance de nos frères et sœurs choisis illégitimement le 19/01/2020 et le 23/02/2020, condisciples de la dictature, pour renforcer ce sale boulot. Ces hommes et femmes dans l’élite du mal, ont une part de responsabilité quant à la crémation de notre pays. Prions que ces deux virus ne détruisent pas notre pays. Que Dieu éradique ce qui est déjà là; la tyrannie odieuse et empêche le Covid-19 de franchir les murs de nos Comores, suffisamment souffert car ces deux virus sont nocifs.

Said Yassine Said Ahmed

COMORESplus

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