Said Yassine Said Ahmed

Said Ali Kémal. J'attendais le troisième jour de son décès, briser un peu le bouleversement née de l'horreur de la brutalité de son arrachement, pour exprimer ma profonde émotion. La mort de Said Ali Kémal est une perte tragique de l'enfant prodige. Adieu S.A.Kemal, même si le jour de ta disparition, des ikoniens en crise de dignité ont profité des émotions pour humilier notre ville par la présence de celui qui ne t’a jamais aimé, qui avait la manie de te torturer moralement et t'humilier sans état dame, Assoumani Azali, lui-même qui a dirigé sans avis des tiens « ton swalati ‘al’mayyit ». "Mgu nahurehemu yahulaze pvema. »

Ikoni, ici je parle d'une localité. La ville d'Ikoni a perdu un référent, un monument, un pilier, une poutre. Said Ali Kemal a été plus ikonien que son père. Bien que je n'aie jamais été proche de lui politiquement, mais S.A.Kemal, je l'ai suffisamment vécu. Pour ne pas dire un homme parfait, humain qu'il était, Said Ali Kemal était complet. C'est l'un des rares enfants de la ville d'Ikoni, qu'Ikoni pleure avec mérite, depuis l’époque des Hamadi. « Mgu namrehemu yahulaze pvema. »

Ici, je parle d'un pays. De ce pays, sur cet homme, je n'ai à dire que ceci "une grande majorité de son peuple lui était ingrat et n'aime pas les arbres à bons fruits, comme cet homme Kémal qui l'a aimé et aimé la patrie." La preuve laisse présager. On pleure Kémal... parce qu'il est mort. Kémal a aimé ce pays qui ne l'a jamais aimé. Mais certaines larmes ont été versées pour dissimuler les empruntes. « Mgu namrehemu yamlaze pvema. »

 

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