Comme on ne sait pas par où l’on commence avec le conseiller 3D de Befuni, tous risquent d’être exposés en vrac. C’est marrant de savoir que l’homme devant toi ment sans croyance en ce qu’il dit. Mais estime que tu ne sais pas qu’il ment. Mr Hamada Hamadi, inspecteur, médecin, diplomate, littéraire, communicant, convaincant, « mfomamdji, msubuti », juriste..., l'homme aux tonnes de poids-lourd… est bien la marque déposée d’autre zone de la présidence Befuni, après Mounir Said d’une autre zone. Un ridicule qui tue, il tue un avenir d’un pays. Quand une autorité… dépasse ses soixante et cinq ans, normalement il devient sage. Et il transmet ses connaissances. Mais hélas, seul les Comores qui roulent à sens inverse. Bientôt soixante et dix ans, le conseiller 3D d’Azali fait une chute vertigineuse en matière d’habilité. Ses sorties médiatiques, dévoilent qui était et qui est l’homme. Un griot au bel éloge dominical lors de « mdjio dahoni ». Nombreux sont ceux qui ne savent pas ce qui va se passer le mois de mai prochain. Mais ce qui est sûr, un temps qui cause une grande panique qui endiable les salariés du Castel de Befuni, alias Beit-salam. Cette fois-ci Mounir Said doit se reposer. Le griot Mr «  je sais tout » Hamada Hamadi, n’a pas de cesse d’aiguiser sa langue pour que colonel Azali sache qu’il sait chanter. Comme conseiller du tyran, il veut à tout prix être le «Martin Bormann » comorien, d’Hitler comorien, colonel Azali. 

« L’autorité, conseiller 3D, tue lui aussi un cadavre. ORT-CRC »

C’est pour cela, qu’il est prêt à tout… : décrier, mystifier, déformer… et même s’en prendre aux comoriens de l’étranger, qu’il les qualifie des arides de la vie de leur pays. Ce conseiller 3D, a pris la petite voie pour gazouiller à grande voix. Mais faisant partie de la brigade qui asphyxie la chaine ORT-CRC H. Hamadi a préféré comme son compère H.M. Bolero n’est pas parler sur les plateaux de cette chaine, mais plutôt, un truc de poche. C’est après avoir compris que personne ne veut entendre leurs outils à musique. Donc pour se faire entendre, il a fait appel à un média de poche. Et pourtant, serviteurs du tyran qu’ils sont, donc tyrans qu’ils sont, l’audience à ORT-CRC leur est si large qu’une autoroute. Le conseiller 3D du tyran colonel Azali, a à-foison parlé sans rien dire. Une faculté en chute. Mais quand même expert en dédain. C’est bien le conseil qui mérite son président. Il n’enviera pas Belou et Houmed Msaidie en matière d’arrogance et mépris au peuple. Se ventant d’une expérience et d’une bonne réalisation dans ces Comores qui souffrent, Hamada Hamadi a oublié qu’il fait partie de ceux qui brillent comme un soleil d’hiver. Aucun comorien ne connait son bilan. Et avant de demander ce que feront les autres, il faut mettre son bilan sur table. C’est ça l’homme exemple. N’est-ce pas ce conseiller 3D qui ondoyait sous les ordres de Kamal Soeuf, faiseur de pluie et du beau temps de la douane comorienne ?…

« A la douane kamalienne, ce savant a assisté aux massacres… »

Et quand l’homme a pris la douane comorienne pour une propriété privé, Hamada Hamadi conseiller au Dieu de la douane, a fait quoi en faveur des comoriens que de se soumettre ? Ce savant grec de l’antiquité, lui aussi prend les comoriens pour des obtus. Cette fois-ci, il est au sommet de la dictature, donc le «Martin Bormann» comorien, au coté d’Hitler comorien. « Udje uhoe ». Le rituel du régime des hommes de la brigade. « Les comoriens qui sont à l’extérieur n’ont aucune connaissance de ce pays… sinon ils devraient croire les efforts d’azali. », Disait le conseiller 3D. Peut-on dire que cet homme au parler sans palissade, nous rappelle les hommes de la caverne « as’habil’alkehf » ? Pourquoi vouloir à tout prix mentir ? Dans un passage, Hamada Hamadi, qualifiait ceux qui sont à l’extérieur des gens n’ayant pas la faculté de comprendre… donc « watsona maarifa yahuelewa ». Comme un fleuve, la mégarde du conseiller 3D aux comoriens, considérant qu’il est le seul l’homme ne plus cultivé de la planète… suis son cours. Mais cela n’a pas empêché une déception. Tellement avare du pouvoir, tellement amoureux de la tune, le conseiller 3D du colonel Azali, n’arrivait pas à différencier Etat, pouvoir et gouvernement. Ce n’est pas de sa faute. Que peut-on comprendre de ce passage ? « Paix ou non, l’Etat d’Azali n’a peur de personne ». S’il a offert l’Etat comorien à Azali, ce n’est pas tout le monde qui est vassale au tyran.      Pylône

« L’homme et sa lucidité éreintée »

S’il a perdu la faculté de voir clair, qu’il sache donc que l’Etat c’est une propriété de personne. Sinon, le régime dans lequel il baigne, est le seul qui appartient à Azali, Idaroussi, Kamal Souef et Chayhane, ses patrons.  Comment peut-on ne pas être vainqueur, après avoir attaché l’adversaire, en lui mettant une muselière comme un méchant animal… et livrer un combat ? C’est quand ce passage sournois se libère de la bouche du super intelligent : « Personne ne peut nous intimider, ils resteront ici, s’ils voulaient, se battre mais pas fuir le pays. ». Quand il a appelé à respecter les lois, issues de la constitution illégale, l’homme des murs de Befuni fait pitié. Sinon, ça se voit que cet homme n’est pas un adversaire politique de Sambi. Il déteste l’enturbanné à mourir. Peut-il se rappeler, ses écrits fleuves d’il y aluns de dix ans alignés dans des colonnes des journaux pour clabauder Djaé Ahamada Chanfi après que ce dernier a été choisi ministre par Ahmed A. Sambi ? Cet homme jetait des braises au natif de Kwambani… Et maintenant qu’ils se croisent dans le manoir Azalien, où virent ses yeux ?

Said Yassine Said Ahmed

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