Il s’agit d’Abdallah Abdou Hassane, Agwa et de Said. M. Djibril. deux comoriens qui se transforment en dard sous le pied de la tyrannie azalienne. Ce pouvoir qui se montre plus puissant que le bon Dieu, demeure susceptible du monde extérieur. Et il est cancéreux de frayeur. La peur de tout ce qui bouge. Lors des conférences de presse simultanées des polichinelles du colonel Azali, autrement dit de ses ministres, tout se lisait sur leurs fronts. Oui des ministres dans un pouvoir illégal. Heureusement que leurs molosses nourris des miettes, aboient mais ne griffent ni ne mordent pas. Bien sûr, ils les ont lâchés sans laisse pour éjecter de venins aux Saints-d’Esprit. La preuve s’est vue en début du climat. Houmed Msaidié de l’économie et Said Ali Chayhanne des finances les ont lâchés sans laisse, sous ordres du colonel Azali.  Soit pour sécuriser une fortune, soit pour cause de son impopularité, liée aux effets pervers… Quand le Garde des Sceaux Mohamed Housseine rejette le constat de l’état de santé d’Abdallah Agwa, parce qu’il peut marcher, il laisse dessiner une antipathie à l’homme. Cela traduit que les tortures doivent continuer sur Agwa pour le rendre en personne à mobilité réduite. Sacré Garde des Sceaux.

« Le pouvoir des sacrifices humains »

Mohamed Housseine a raté une vocation. Dire que selon son droit de Bobigny, le détenu Agwa n’a pas droit de choisir un médecin, c’est de la pure comédie. Après avoir assassiné, les feux, Hamada Gazon, cdt Fayçal Abdoussalam, Major Moutu, Salim Nassor et les trois jeunes de la fausse rébellion de Mutsamudu, d’autres victimes sont dans les viseurs. Après que des soupçons sur des éventuelles hécatombes aussi hors-séries, circulent dans l’opinion… depuis 2018 dans le compte de cette tyrannie, finir avec Abdallah Agwa et Said M. Djibril, est ourdi. Malgré eux, mais ces hommes font la dysenterie au pouvoir. C’est juste une détente sur la vie de l’ancien président A.A.Sambi. Mais cette fois-ci peine perdue. La population veille sur ces deux assassinats prémédités enveloppés d’arrestation et des peines de prisons. Extradé pour avoir aidé, c’est la pure méchanceté jamais commise. Même des prétextes sont évoqués. Mais pourquoi ces êtres continuent à croire que tous les Comoriens sont des idiots ? Mais pourquoi la honte se fâche avec eux ? Et les mots sortis de leurs cœurs garnis d’amertumes ? La voix sèche abritée de mauvaise foi du Garde des Sceaux des « khmers rouges » comoriens, M.Housseine, aux sujets de S. Mohamed Djibril et d’Abdallah Agwa, illustre l’effroi de cette brigade de la guillotine. Ce garde des Sceaux, baigne dans une ambivalence.

« L’argent une des adorations de ce pouvoir »  

Cet ancien secrétaire du cadi de Moroni, vêtude costume de juge par Ahmed A. Sambi et conduit en procureur, est le summum de lacune. Nous avons tous témoigné la série de ses cousins Bahssane Ahmed Said et Djaffar Ahmed Said et le châtiment qu’il leur a fait subit. L’argent aussi préoccupe cette brigade. « Ceux qui travaillent avec Djibril doivent venir ici officiellement pour que l’on sache comment travailler avec eux légalement ». Rien que cette phase tirée de sa conférence de presse, montre que seul l’argent qui les préoccupe et non le pays. Le songe des enveloppes, au point de châtier les nécessiteux et défavorisés, notamment des malades qui touchent l’aide. Mais lorsqu’il a annoncé que tous les comoriens témoignent comment colonel Azali développe le pays et qu’il n’oublie personne, forts sont les comoriens de ne pas dégorger à l’issu de ces balivernes. Depuis l’aube ces exclus qui ne savent même pas qu’Azali existe, sont plantés dans la souffrance. Et depuis un an, l’action Djibril leur est destinée… Si Djibril porte ses aides par voie illégale ce que le pouvoir refuse de faire dans la voie légale, alors, il n’y a plus de légal que d’aider à vivre. Pas de légal que de ne pas abandonner les déshérités dans le malheur. Ce qui fait une popularité menace cette brigade au pouvoir.

« La pire niaiserie. »

Quand les 100 millions ont fait extrader Bobosha de Madagascar vers Moroni, les mains doivent se mettre dans les sacs pleins des magots escamotés pour extrader Djibril de l’Asie à Moroni, comme sous-entend Mohamed Housseine. Sans doute, colonel Azali qui a confié le sale boulot à Houmed et Mohamed Housseine, compte sur ses amis bouchers d’Arabie saoudite. Et ce garde des Sceaux qui se vente d’une loyauté après avoir libéré le Pablo Escobar comorien Mr Daouk, l’homme qui a asséché la SNPSF. Simple, si un détenu qui a volé 355 millions de fc, donne 10 millions en échange contre sa libération, où est le difficile ? Sinon, pour l’autre chasseur de S.M. Djibril Houmed Masiadié qui veut savoir d’où vient le fonds d’aide aux nécessiteux. Peut-il avoir le front de dire aux comoriens, d’où proviennent les 350 €, qu’il a investis dans les campagnes électorales de 2016 ? Et où vont les milliards qu’il empoche de Lica pour les ventes des passeports comoriens dont le contrat est modifié à sa convenance ? Où sont-ils utilisés les 22 milliards de fonds de Kenneth… et les 20 millions de dollars octroyés au colonel Azali par l’Arabie saoudite… Et les 32 milliards d’aide pour lutter contre le covid-19 octroyés à l’Etat comorien ? Sinon, même si ça devrait devenir un secret de polichinelle, mais les 18 milliards glissés dans le compte du colonel… cause des décès, seront un jour déterrés… 9 milliards fois  deux. 

Said Yassine Said Ahmed

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