Pendant ce mois de ramadan, si le pouvoir maléfique continue sur la voie de ses actes sataniques et que nous nous taisons, là, Dieu ne va pas nous pardonner. Dénonçons-les. Alors, malins qu’ils se croient, colonel Azali et sa brigade des la guillotine, croient pouvoir tromper les comoriens et continuera à déchiqueter les comoriens, notamment de l’ile d’Anjouan et surtout ceux qui étaient avec Ahmed Abdallah Sambi comme bon leur semble. Ils réveillent le séparatisme anjouanais, ils utilisent pour tuer les leurs. Mais pour dissimuler les empruntes, ils préfèrent ne pas faire paraitre Mohamed Bacar. C’est pour cela que Djafar S. Sarkozy, Miroid, N. Midladji, M. Salime Haphi, Moustadrane, Dhoulkamali… sont chargés du sale boulot… comme bourreaux éventuels. Donc l’assassinat de l’Major  Hakim Said alias Bapalé de la nuit du 6 au 7 avril 2021 a été ourdi en âme et conscience par le pouvoir en place. Ces hommes qui changent leur ile contre le pouvoir ne récolteront que le châtiment dans le temps qui vient.

« Voir le sang couler était amusant au camp de Sangani »

Les tortures réservées à l’Major  Hakim Said, Bapalé, qui l’ont porté vers la fin de sa vie, étaient de pratiques animales, donc venant de l’esprit luciférien… des adeptes de vaudou. Sadiques, donc voir souffrir sa victime donne des sourires aux lèvres. Se jouir de la souffrance du prochain, a été la scène du jour au camp militaire de Sangani. Le défunt a été sauvagement torturé. Des veines seraient coupées, des canifs auraient été utilisés pour le châtier mortellement. Un vrai travail des animaux sauvages. Tout se justifie par son éjection dans un trou comme un vulgaire rat, sans rien de rite ni de religion. Sinon, suivant ses dires pleins de profanations et du mépris à l’humain tué, donc à un mort, Oussoufa Mohamed Belou est l’un des responsables direct dans cette affaire. Même si sa bouche n’est pas demandée dans cette affaire mais, il ne sera jamais déchargé, étant l’instrumentiste des forces de l’ordre… donc même le tueur de Bapalé.

« La brigade au pouvoir et son plaisir de tuer »

Le manque de respect à sa famille, est l’un des piliers de la devise du régime des meurtres aux Comores. La famille du défunt n’a pas été mise au courant de l’horreur du camp militaire de Sangani. C’était avec les dires des uns et des autres, comme tout le monde que la famille de Hakim Said bapalé a été informée. Le jeter dans le trou creusé par trois jeunes civils, pris de force pour sa tombe au cimetière de Mirontsy, est aussi un témoin qui s’allume au rouge. Donc ce pouvoir de péché ne va pas s’arrêter là. Il est clair, que cette mort réjouit colonel Azali et sa bande… lui qui continue sa mégarde au peuple comorien, à l’ile d’Anjouan et aux familles de ses victimes. Son seul souci, c’est d’aller danser sur des tombes de ses victimes. Oui, lui qui est parti à Anjouan peu de jours après le décès de sa victime et qu’aucune fois n’a parlé de son nom, pour condoléances et n’en parlons plus aller voir sa famille endeuillée...

Said Yassine Said Ahmed

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