MOHAMED ISSIMAILA LE MYTHOMANE ARROSE
28 sept. 2021Ceux qui pensent qu’Adolph Hitler n’avait pas d’intellectuels et de techniciens dans son fascisme, se trompent. Sa cour s’appelait Cabinet Hitler. Tout comme ceux qui croient que l’intellectualité et la technicité dans lesquelles se trouve le régime tyrannique aux Comores peuvent adoucir les actes atroces et sataniques du sanguinaire Assoumani m’inyamba mdro. Il s’appelle Mohamed Issimaila. Le conseiller porte-parole d’Adolph Hitler comorien, donc son Joseph Goebbels à lui. Ce professeur de philosophie, connu par son apex bien aiguisé, prouve comment il nous a enseigné le contraire de ce qu’il pratique et ce qu’il devrait montrer comme exemple.
A la « tête de lit » du tyran, Mohamed Issimaila crache sur les notions liberté, démocratie, droit et devoir… qu’il a apprises à Aix-en Provence et qu’il a enseignées dans différents lycées aux Comores. L’homme qui a sorti le terme, selon lequel «…euhibo, naparwa mwidzi, eyaua yararwa mra hitswa…qui signifie, il faut appeler les gens par leurs noms », ne peut avoir une autre appellation que menteur. Ce professeur de philosophie, conseillers d’un tyran, qui a enseigné le droit, la liberté, la démocratie, l’opinion… et qui les prive à son peuple… est loin d’être incorruptible. Loin de servir d’exemple d’un homme loyal. Tout comme les intellectuels d’Hitler, Hermann Göring et Joseph Geobbels… Mohamed Issimaila est un Plon qui sert pour le maintien de la tyrannie.
« Mensonge et mauvaise foi »
Quand dans sa conférence de presse à Beit-salam, la Neue Reichskanzlei, le palais de l’Hitler comorien, Assoumani, le porte-parole de la Cour, Mohamed Issimaila, dit « Sambi est reproché pour des faits non politique… ». Trouble à l’ordre public par Ahmed Abdallah Sambi, depuis la mosquée Alqasmi de Moroni, n’a autre visage que fait politique. Et les Comoriens ne connaissent une autre note assignant l’ancien chef d’Etat A.A.Sambi en résidence surveillée que celle de Said Abdou… ancien secrétaire général du Ministère de l’interieur. Ce faisant, ce professeur de philosophie, conseiller du sanguinaire Assoumani et porte-parole du Cabinet Hitler comorien, sait très bien comme certains représentants d’Assoumani à l’hémicycle de kobea qu’Assoumani marche sur la tête de sa victime, qui est aussi son sauveur Ahmed Abdallah Sambi.
Ils savent que trois ans et demi de détention provisoires, sont hors la loi. Après les premiers huit mois passés en détention, sans jugement, au-delà ce n’est autre qu’une séquestration. Mais l’argent rouille le cœur et déshumanise l’homme. C’est ce qui est arrivé à Goebbels azalien, Mohamed Issimail. « Il faut laisser la justice faire son travail… », cette phrase de l’un des griots de Befuni, n’est que ridicule. Lui qu’il sait que les gens savent qu’il ment, sachant que cette justice est inerte depuis cinq ans et demi, car aux mains de son chef.
Said Yassine Said Ahmed
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