A L’ORT-CRC, LA JOURNALISTE BINTI MHADJOU, EST VICTIME DE SA LOYAUTÉ
13 sept. 2022A L’ORT-CRC, LA JOURNALISTE BINTI MHADJOU, EST VICTIME DE SA LOYAUTÉ
En vérité, le pourquoi, Abasse Mhadjou s’acharne sur la journaliste Mme Binti Mhadjou de l’ORT-CRC, la réponse est dans le tempérament de cet homme. Par note de service n°22/034/09… Mme Binti Mhadjou est affectée à l’ORT-CRC d’Anjouan en tant que journaliste. Pour ne pas oublier en étant imbibé dans le texte, Abasse Mhadjou, n’a rien d’étonnant. Ce bulldozer pour détruire est une marque déposée Assoumani. Pourquoi Abasse n’a-t-il pas orienté l’affectation de la journaliste Binti Mhadjou vers Moheli ? Anjouan, est une ile comorienne bien sûr. Mais Abasse Mhadjou comme il n’aime pas cette journaliste insoumise à ses ordres morbides et ses menus médiatiques immoraux, il l’envoie à l’ile qu’il n’aime pas de même, en guise de punition. Ce n’est pas l’acte, c’est l’intension et les pratiques de l’homme qui consternent. L’homme est un anti-tranquillité. Donc amoureux du désordre, il l’accouche, en choisissant une fidèle à son métier, le journalisme, comme victime. Rappelons-nous qu’en novembre 2008 Abasse Mhadjou, alors ministre de l’intérieur de Ngazidja du gouverneur Mohamed Abdulwahabi, a déclaré : « tout Anjouanais à Ngazidja doit, avoir une carte de séjour.». Un produit à la convenance d’Assoumani Azali.
« Affectation, et non celle impure »
Les arrivistes de l’ORT-CRC, comme Abasse Mhadjou, oublient que « kairi hudjua bavu rahana hudjua soo ». Mme Binti Mhadjou, dont le professionnalisme et le parfait de la tache sont salués par beaucoup d’entre nous, est une acclimatée de la Maison presse, ORT-CRC. Une artisane de la station avant que ce Directeur sien commence a dévoilé sa haine contre Sambi, haine qui était tremplin pour sa nomination. Certains manches à air, diront qu’Anjouan est Comores, donc l’affectation ne doit bénéficier d’aucun bruit. Bien sûr que non. Elle ne doit bénéficier d’aucun bruit, mais à condition qu’elle respecte les normes et le grand principe... Oui, à condition que l’affectation ne se fait pas pour se vengeance ou punition. Oui à condition qu’elle ne se fait pas pour soulager une conscience d’un cœur désenchanté de la sincérité. Pas qu’Anjouan, même si Mme Binti Mhadjou, est affectée à sa ville natale sans aucune norme inintérêt du métier mais pour punir une honnêteté, c’est un abus du pouvoir. Donc ces énergumènes doivent épargner les comoriens de leurs théories mouvantes et émotionnelles. La journaliste, est victime de sa loyauté, de son honneté, de son professionnalisme et de son insoumission aux idées béni-oui oui.
« Des quoi, la journaliste honnête est victime »
Ce n’est pas un premier fait du Mr Abasse Mhadjou à Mme Binti Mhadjou, depuis qu’il est à la direction de cette station. Déjà la mention sur la note « est affectée en tant que journaliste », montre très bien que ce Directeur Abasse Mhadjou ne sait pas, il est dans quel domaine. Désertique du service dont il est directeur. Donc Mme Binti est journaliste avant tout. Témoignage de la victime. Sur son mur facebook Binti Mhadjou a écrit « J'ai été rédactrice en chef et j'ai démissionné au bout de cinq mois. J’ai continué mon travail de journaliste en tant que reporter et présentatrice. Il ya quelques jours j'apprends que j'ai été virée du JT. Et non, ce n'était pas à ma demande contrairement à ce que mon chef Hablani Assoumani veut faire croire aux internautes. Ce que l'on peut me reprocher c'est d'être sincère, de dire ce que je pense et donner mon point de vue même si la décision finale ne me revient pas. Après tout je suis un être humain, pas une marionnette. J'avoue que je suis contre la promotion de la médiocrité et le manque de rigueur dans le travail…» « On va juste payer le billet d'avion mais le reste tu te débrouille. », disait le DG Abasse Mhadjou. Et que disent la CNPA et le syndicat des journalistes aux Comores, de cette clarté des faits rétifs, œuvres du DG de l’ORT-CRC à l’encontre de la journaliste, étalés par la victime ? Pourquoi ce silence radio ? Ces effets pervers ne doivent pas être pris à la légère et entré dans le panier des tolérables.
Said Yassine Said Ahmed
COMORESplus