ENTRE 2016 A 2022, CES DIGNITAIRES, NOUS ONT QUITTES. ET AVEC SA CAUSTICITE, A. AZALI CONTINUE SES TROMPERIES.

Depuis le six juillet 1975 jusqu’en avril 2016, pro ou anti-régime, sages, politiques, hautes personnalités, technocrates, dignitaires et j’en passe, étaient vivants et vivaient les régimes similaires. Ces classes existaient et ont donné du confort à un pays en voie de construction. Des personnalités auxquelles, le comorien allait se plaindre si ca allait mal au niveau de l’Etat. Des personnalités, en tout cas des différentes figures qui charmaient le paysage sociopolitique de notre pays, les Comores. La Paix, l’entente, le respect aux règles, respect aux mœurs, à l’humain, à la pudeur, à la religion… ne quittaient pas le quotidien des comoriens. 

Nos pensées à ces personnalités qui ne sont plus parmi nous et qui ont versé leurs sang pour le bien être des Comoriens. « Mngu nawarehemu yawalaze pvema, inshallah ». Depuis le mois de mai 2016, précisément depuis la naissance du pouvoir poisseux, pouvoir régicide, pouvoir liberticide… d’Assoumani Azali, jusque ces jours, des décès en cascade dont la perte de ces personnalités, des cerveaux, des dignitaires comoriens de toutes sortes. Une perte causant la décomposition de l’Etat comorien. De mai 2016 au 31 décembre 2022, six ans de choc, des trépas des personnalités importantes, donc six ans d’un climat nocif… Au cours de cette période plus de 50 hautes personnalités nous ont brutalement quittés avec l’indifférence des composants du régime en place. Des morts sur lesquelles on s’interroge, donc un vide majeur à la nation comorienne. Des morts naturelles, des morts par fusils et autres… en sommes des morts sous la caution du malheur  « nuhusisme » du pouvoir pactisé avec Satan. 

« A part la misère qu’Assoumani fabrique à son peuple, les mensonges »

Quand Assoumani Azali dans ses dires au Palais du peuple en face de ses auxiliaires nommés représentants pour détruire l’Etat, en l’occurrence ses députés à lui, les comoriens conscients n’ont fait lecture que d’un discours mensongers. A retenir, la création de 683 entreprises par le pouvoir, c’est bien le discours qui a été tenu par l’ANPI, sauf que ce cabinet avait précisé que c’est entre 2020 à 2022. Un vrai paradoxe pas possible. En octobre 2020, le cabinet d’outre élytre, d’Assoumani Azali, ANPI avait annoncé que de là 2024, ils vont créer 5600 emplois, donc des créations supersoniques, se sont réalisées. A l’espace d’un an le pouvoir a crée 683 emplois, donc les décès et les jeunes impertinents fabriqués par ce pouvoir du mal, se rajoutent sur la liste.       

La bonne année, a quitté les Comores depuis le mois de mai 2016 ; Elle congédiait les Comores depuis six ans. La bonne année reviendra aux Comores, une fois que le pouvoir du mal, le pouvoir homicide quittera ces trois îles martyrisées par la tyrannie dévastatrice. Ce régime, n’a laissé aucun dignitaire en vie, donc sans des guides et des sages, les Comoriens sont livrés à eux-mêmes. Que le très haut protège les rares qui restent en vie car avec ce régime ils ne poussent que les mauvaises herbes. 

Said Yassaine Said Ahmed

COMORESplus

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