AFFAIRE AYMANE : APRES AVOIR FAIT SA VICTIME, LE REGIME VEUT EMBRASER LE BAMBAO

Il s’appelait Aymane Nourdine. Ce jeune de 24 ans natif de Vouvouni dans le Bambao, est tué par le pouvoir en place aux Comores. Aux yeux et dans les âmes des comoriens sensibles, ayant des cœurs humains, ce jeune qui est succombé à ses blessures à la gendarmerie, est victime, et est martyr. Dans des conditions atroces, ce jeune, en tout cas cet enfant, est abattu comme une bête. L’archipel des Comores, qui est dirigé là, où il ne veut pas, est en proie d’un régime tortionnaire ayant un pacte avec Satan. Un régime qui a fait perdre de ce pays la notion d’Etat. Non seulement la notion d’Etat, mais aussi la notion humaine. Comme dans sa coutume, le régime actuel aux Comores fait une autre victime parmi les victimes prévues. Aymane Nourdine, est un élu aux sacrifices humains pour la longévité d’un régime aux abois. Le malheur de ce pays, qui se reposait sur une religion musulmane digne de ce nom, qui se reposait sur des Us et coutumes… est de voir tout cela disparaitre.

Le mépris du régime suit toujours son chemin

L’atrocité et la bestialité que la sécurité d’Assoumani Azali et de son pouvoir, a fait subir au jeune Aymane Nourdine, jusqu’à ce qu’elle lui ôtait sa vie, n’a vu se lever aucune voix. Ni la voix d’un des procureurs, ni d’un des Muftis du pouvoir, ni d’un des cadis du pouvoir. Les jeunes du pouvoir se taisent aussi. Le pouvoir quant à lui, est dans sa satisfaction, mais quand-même essaie de prendre les Comoriens pour des butors. Suivant les interventions du parti CRC, lors de sa conférence de presse du 02/03/2023 quant à la question sur l’assassinat d’Aymane, assassinat qu’ils ont cautionné, tout a été clair. Précédé de la réponse donnée par Houmed Msaidié, lors d’une interview… Houmed, qui continue sur son chemin de mépris aux comoriens, disait : « Il se pourrait que Aymane est mort avant d’arriver dans les mains de la gendarmerie… ».

Les guillotineurs et la profanation du cadavre

Encore vouloir mettre la ville de Vouvouni dans un problème et mettre la région dans une guerre, en accusant des jeunes de la famille supposée être volé par des jeunes parmi eux Aymane. C’est quand il disait que il se peut que ce sont des jeunes de la famille dont l’or et l’argent supposés volés, qui auraient tué Aymane. Ce raccourci pour disculper des coupables, dont les milices du pouvoir qui ont assassiné dans leur camp ce jeune, en évitant à tout prix et enquêtes comme dans leur habitude, et procès.

Les voyants sont tous au rouge. Quant à Djaé Ahamada Chanfi, qui a mille et une enquêtes sur son dos, depuis fin août 2021. N’est-il l’équivalent de Franz Schlegelbrger  ministre de la Justice, d’Hitler ? Et Oussoufa Belou, n’est-il l’équivalent d'Albert Speer ministre de l'Armement et des Munitions. Cet homme, ce Belou qui se remercie du professionnalisme des ses tourmenteurs quant à leurs pratiques cruelles qu’ils ont fait subir leur victime. Tous deux ministres d’Hitler. Des ministres dont les humains leur étaient des cibles et des Cobayes. Peut-on clore ces lignes sans évoquer la profanation du cadavre du jeune Aymane, enveloppé d’un sac à poubelle, puis déposé devant chez lui ? Ceci c’est une affaire des Muftis et des candis du régime. Ceci, c’est une affaire des hommes milanatsiens du pouvoir. En tout cas, en matière de religion musulmane, ce pouvoir est en faillite.

Ces tyrans après avoir tué, ils prétendent mettre le feu

Dans cette série, les coupables d’Aymane se verront libres après avoir accompli leur mission. Sinon, un prétexte de justice, donc drôles d’interpellation des jeunes, selon les dires bourrés, originaires de Vouvouni, sont à la gendarmerie depuis le dimanche 05 mars 2023, qui pourraient être remplacés pour coupables alors qu’ils ne sont pas gendarmes. Mais les dires de Houmedi Msadié, selon lesquels, Aymane aurait été tué avant d’aller à la Gendarmerie, est un couteau à double tranchant. Protéger les assassins d’Ayman, autrement dit les coupables, ils l’ont fait sur l’affaire Faina en mai 2021. Des assassins qui ne sont que des agents de la garde du tyran. Et puis livrer aux jeunes, dits de la famille des personnes supposées propriétaires du bien prétendu volé, en pâturage, donc en conflit avec les jeunes de Vouvouni, notamment famille et amis de la victime.

Said Yassine Said Ahmed

COMORESplus

Retour à l'accueil