LE SATANISME ET LES GOUINES DE LA REPUBLIQUE
10 févr. 2024LE SATANISME ET LES GOUINES DE LA REPUBLIQUE
Ici on parle des Comores pays animisto-musulman. Pays qui était musulman, bien avant la venue du régime fitnocratique. L’islam était la religion de nos aïeux, nos pères nos mères et leurs précédents. On trouvait quelques mushrikun, et quelques sorciers qui furent consultés discrètement, à l’abri des vus d’autrui. Encore, tout comme une association installée aux Comores depuis au moins il y a ½ siècle. Un tremplin vers la Franc-maçonnerie, et qui dispensait des formations... Aussi dans l’ensemble, se rajoute une association d’autrefois, une association des femmes aux Comores, dans laquelle certaines Gouines. Mais avec précision, ce n’était pas toutes les femmes de cette Association, bien sûr qui étaient gouines. Seulement un nombre considérable. Ce satanisme s’appliquait aux Comores dans la discrétion totale. Un signe, a été adopté pour qu’elles se connaissaient et les intimes les connaissaient, sans aucune exposition leur. Tout passait sous le tapis. Et si c’est su… ça se marmonnait, sans plus. Le temps passe, ça évolue. Ces heures-ci, la caution est de mise, les Gouines de la République s’exposent avec vanité... Sur les chaises tournantes au bureau ou au balcon, dans les voitures aux vitres teintées, ray-ban… avec un sourire de la réussite de la vie, donc faisant partie d’une secte et dans un pouvoir, tout se lâche.
« La vulgarisation du sardonique »
Donc, depuis l’instauration du régime fitnocratique d’Assoumani Azali et dynastie, le pacte de la pudeur s’est envolé. Et cède la place à celui signé par ce régime avec Satan. L’animisme est vulgarisé, des nombreux dirigeants de ce pouvoir et leur président font des allers-retours Moroni-Pemba ou se dirigent vers le fond fin de l’Afrique pour l’ésotérisme. Cela devient comme amusement chez eux. Aussi la franc-maçonnerie qui était mot tabou chez les Comoriens, flotte peu à peu, et des jeunes en compétition, dans ce petit pays qui dispose deux muftis et des cadis, tous du pouvoir. Outre même si l’Association des femmes introduite ci-dessus, n’existe plus, mais les Gouines deviennent banalité. Elles s’établissent et fourmillent partout dans les quatre coins du pays. Elles s’arment d’une impertinence, d’un mépris et d’une autosatisfaction…, car elles s’estiment bien patronnées. Parmi les promesses discrètes du pouvoir, c’est de « Sataniser » ce pays autrefois musulman. Tout au su des ulémas et du muftorat. Ces enturbannés, au lieu de s’occuper des problèmes de la société, ils s’occupent des futilités. Ces effets qui amochent la société ne cessent de naitre à chaque levée du soleil. Ces enturbannés tant que leur relation avec les fitnocrates assure leur Nestlé le pacte entre le régime et Satan est convenu.
« Vers une identité sociale et culturelle des Gouines »
Des attirances sentimentales et sexuelles entre femmes, se libèrent indiscrètement de façon que la pudeur ait peur et prenne la fuite. Donc sans chasteté. Le plus funeste est que le laxisme et la complicité du régime Fitnocratique aux Comores est une grande caution et garantie pour la certification de ces portées libidineuse. Et ça commence à devenir identité sociale et culturelle qui remplace ce que ce pouvoir des fitnocrates a ôtée des Comoriens composant de nos us et coutumes. Certains, jeunes soi-disant instruits, n’ont pas du mal à placer leurs épouses en gage dans ce cercle des Gouines pour des éventuels récompenses. Des promotions dans leurs services ou des nominations… Rongés par le complexe d’infériorité, avec une rancune contre le passé, ces gens font n’importe quoi pour arriver devant la scène. Les Gouines de la République, n’échappent pas ni aux ouïs ni aux vus des ulémas. Ils sont tous au courant, comme ils sont au courant de ceux qui se font sauter par des substances, qui violent et qui tuent. Le pouvoir fitnocratique, plonge le pays dans la misère totale, famine, violence, désespoir… des faits qui font que des jeunes filles remplissent le socle des Gouines et même si sans plaisir, c’est pour faire plaisir à certaines baronnes de la place.
Said Yassine Said Ahmed
COMORESplus