COMORES : LE POUVOIR QUI A TUE A. ABDOU DIT FANOU, SE HISSE SYCOPHANTE ET ENIVRE SES FEMMES AVEC LES VERBES SOUFFRANT.
24 sept. 2024COMORES : LE POUVOIR QUI A TUE A. ABDOU DIT FANOU, SE HISSE SYCOPHANTE ET ENIVRE SES FEMMES AVEC LES VERBES SOUFFRANT.
Si l’on fait école de guerre, ce n’est pas pour apprendre à manier les armes. D’ailleurs on la fait quand on est dans l’armée. Et A. Azali est l’un des meilleurs élèves sortant de cette école. Qu’est-ce qu’on apprend à l’école de guerre ? A diviser, à mentir, à ourdir, à tramer sous les tapis… à semer le désordre, que sais-je encore. Semer la « fitnat » au sein de « l’Umma », est le propre des fitnocratesau pouvoir aux Comores. Assoumani Azali et sa dynastie prennent les comoriens pour des butors donc veulent leur faire croire que leur victime, Ahmed Abdou dit Fanou est un criminel. Donc à la place des tortionnaires qui l’ont torturé bestialement, jusqu’à sa mort. Ici on compare un mort et un blessé léger. Un Fanou et un Azali. Deux êtres humains. Pour essayer d’inverser les rôles des personnages dans cette histoire, le pouvoir sillonne en tranches, les localités du pays pour faire passer un message plein de bauges, donc des condamnations en cascade. Ils parlent de l’agression et jamais des tortures du jeune Ahmed Abdou, œuvres de ce pouvoir. En tout cas, les fustigations perpétuelles du pouvoir envers un mort, donc sa victime Fanou, ne pourront convaincre personne. Les cieux s’éclaircissent et les nuages se dégagent. Fanou est torturé, décapité et son cadavre est tiré dessus par balles.
« Derrière le pupitre, Fatima Ahamada n’en menait pas large »
Le procureur du pouvoir Mr Mohamed Ali Djounaid, a essayé vainement de dissimuler la vérité avec des farces, mais il a été rattrapé dans ses mensonges. Cela d’ailleurs l’a mis en hibernation. Contrairement à ce que Djounaid a dit : Mort subite, Fanou a été assassiné par la brigade du pouvoir en place. Dépourvu de l’équanimité, le régime n’arrive pas à soigner ses mensonges, même s’il dispose d’une autosatisfaction, en se considérant plus illuminé que tout un peuple, il se dessine à chaque sortie médiatique, croquignolesque. Mme Fatima Ahamada, ministre de l’information et de la promotion du genre et porte-parole du gouvernement du pouvoir césarien aux Comores, lisait le compte rendu du conseil de ministres, dont le point parlant de Fanou était rébarbatif. Forcée par l’atmosphère, la danse des brigues et la pilule mortifère, Mme Fatima Ahamada, regardait sans voir et parlait sans dire. Sinon, les farces montées en puzzles lors du conseil de ministres, tombaient de la bouche d’une victime consentante, Mme Fatima Ahamada. Bien que les mots soient sortis avec aisance, ils sont garnis du ridicule. Sinon, ses verbes prenaient congé d’elle. Sans doute, Mme Fatima Ahamada, ignore les enseignements ésotériques de la secte des anciens musulmans au pouvoir. La ministre et porte-parole disait « le criminel qui a failli agresser le chef de l’Etat… », alors qu’Azali était déjà agressé et que même il s’était déjà fait justice soi-même… Toujours dans sa confabulation, Mme la ministre Fatima Ahamada, dont les yeux se promenaient dans le vide, derrière le pupitre, elle promet ceci : « Le procureur a ouvert une autre enquête pour que l’on puisse connaitre les causes de la mort du criminel ». Celui qu’elle a nommé criminel, n’est qu’une victime… et probablement piégé par « la secte du manoir ». Mais quand elle a prononcé ceci : « selon l’opinion publique, ce criminel, était un drogué dépendant de stupéfiant…». Le discrédit du procureur du pouvoir par le gouvernement se lit avec dénotation sur le pupitre. Ni politique, ni journalistique… se fier des dires des uns et des autres et pourtant un régime qui a un procureur… met le crédit de ce dernier au rabais. Autre sentiment désagréable du pouvoir fitnocratique, sa mégarde au peuple comorien. Exemple, ces mots «… Sa mort complique la situation, car on ne pourrait pas savoir pourquoi il s’est lancé dans cet acte… et qui en sont derrière ». Ahmed Abdou n’est pas mort naturellement, il est tué par le pouvoir d’A. Azali et sa famille.
« Mariama Boina, la juriste ingénue qui oscille dans son domaine »
Qu’a dit Mme Mariama Boina, conseillère juridique au ministère des affaires étrangères du pouvoir en place aux Comores, en même temps coordinatrice du parti au pouvoir tyrannique, la CRC dans le Mbude ? Dans ce pouvoir, l’arrogance et les mensonges n’excluent personne. Mme Mariama Boina. Cette femme interviewée par Ibrahim Inoussa alias Nono, libérait ses propos acerbes. Une tonne de mensonges qui se libéraient commodément de sa bouche. Mensonges pernicieux. Toujours avec mégarde, une estampille du pouvoir en place aux Comores, Mme Mariama Boina enseignait son droit, et s’autoproclamait procureur, en donnant les résultats de son enquête... Parlant de l’acte de Salimani « C’est un ourdi, car il y a longtemps dans une mosquée lors d’une prière de vendredi, il était muni d’un couteau pour tenter de commettre ce même acte. Et cela a été évoqué dans une assemblée… ».Parole de Mme Mariama Boina. Toujours dans les suppositions, « Nous supposons que c’est un acte prémédité, qu’on devrait commettre pour attenter à la vie du président de la République ». Un juriste suppose dans une affaire meublée de gravité ? Avec les propos de ces deux femmes du régime fitnocratique, en l’occurrence Mme Fatima Ahamada, et Mme Mariama Boina, la ridiculisation du procureur du régime tyrannique en place, Mr Djounaid Mohamed Ali, laisse présager. Peine perdue. Rien n’est sibyllin. Le dévoilement des mensonges de la tyrannie dans cette affaire est inexorable. Ce jeune est mort martyr… sa mémoire doit être immortalisée.
Said Yassine Said Ahmed
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