COMORES : LE POUVOIR ET L’EXÉCUTION DE FANOU, DU JAMAIS VU EN DROIT, EN JUSTICE ET EN RELIGION

C’est toujours la Une, donc il est impossible de lâcher de nos plumes ou/et de nos lèvres, les resquilles du pouvoir à la pensée « Esotérique ».Oser c’est pour ne pas faire souffrir sa conscience et son mental. Mais oser bien, c’est oser sans avanie aussi. Bien que le comorien refuse de vivre la vérité… ceux qui la font vivre, ne se lassent pas ni ne se détournent pas même si la fitnat veut entamer les familles. Le combat que l’on mène contre la tyrannie, est à la Mercie de personne. Cela permet à nos pensées de se fournir l’indépendance et s’orienter vers les légitimes. D’abord, quel est le rôle de l’intellectuel comorien, moment où depuis plus de huit ans, sa patrie souille sous la chaleur de l’oppression et de l’injustice ? Une bestialité totale que subit son peuple gouverné avec des coups de cravache. Le peuple est souffrant, en tout cas mène une vie coriace. Le système de « Pourquoi pas, moi aussi » et de « m’as-tu vu ? » de la classe intellectuelle dans ces îles Comores bouillonnées par la tyrannie depuis 2016, dissone un avenir néfaste. Inconscients et lunatiques, ils ignorent que la technocratie a cédé la place à l’utilité. Etre important est meilleur qu’être célèbre. « Hama wamenyeha » même sans « bouteille ya Jacquie ».

« Farces et arrogance sur le plateau des anciens musulmans »

Ahmed Abdou alias Fanou, serait démonté, donc imputé le nez, les ongles… et autres organes. Des tortures animales avant sa mort, il aurait subi. Ensuite son cadavre aurait été profané par balle, dans un pays qui se dit musulman… et un régime doté des Mufti et des cadis, nommés par décrets… Au lieu de « Faire assaut de modestie et de retenue » pour essayer d’apaiser les colères légitimes des citoyens…, le pouvoir et sa jeunesse fêtent cette bestialité, c’est-à-dire l’assassinat du jeune Fanou. Des localités en localités, ils profanent leur victime, Ahmed Abdou Fanou. Sans doute, ces religieux étaient des musulmans. En tout cas vu l’instabilité mentale du régime tyrannique aux Comores, vu l’incohérence dans leurs trames quant à cette affaire Fanou-Azali, tout est clair, ils se font découvrir eux-mêmes dans leurs mystifications. En tout cas la cruauté, c’est comme la fumée. Elle ne se cache pas longtemps. La conscience des comoriens et du monde entier, lisent les faits réels dans cette situation.

« Fatima Ahamada, celle dont ils veulent faire la carrière, un mort-né »

Toujours dans le compte-rendu du Conseil des ministres du jeudi 19 septembre 2024. Mme Fatima Ahamada, Ministre de l’information… et porte-parole du gouvernement relatait ceci : « Le gouvernement a ouvert une autre enquête afin que l’on puisse connaitre les vrais responsable de ce drame ainsi que les circonstances de la mort du criminel… » A noter que le criminel dont on parle ici, c’est leur victime Ahmed Abdou, mort à la présidence de Beit-salam, dans les mains du pouvoir. Il est qualifié victime sans être jugé, alors que ses exécuteurs sont tranquilles dans leurs peaux. Mais que dire de cette maladresse dans ce crime gouvernemental ? Cinq jours avant cette menterie  organisée du pouvoir, émise sur le pupitre, un communiqué du parquet de Moroni a été signé… et rendu public. Un communiqué selon lequel, «… il n’existait ni blessure par arme à feu ni par arme contondante, ou tranchante. Suivant ces éléments, le parquet estime qu’il n’y a pas d’opportunité de poursuivre d’enquête »… La deuxième victime  de cette secte au pouvoir, après procureur Djounaid, s’appelle Fatima Ahamada. Ces méchants de la tyrannie profitent son état Néophyte pour se servir d’elle comme bouclier. Cette jeune femme, est livrée à soi-même dans une forêt truffée des collets. Et Djounaid qui promettait une sérieuse enquête, le jour même qu’ils ont exécuté Fanou, est désavoué par son parquet. A. Azali n’a pas d’amis. Il a des hommes et femmes kleenex au service de la dynastie. Il les a tous eus.

« Jeunesse Azali, le pire cauchemar dans l’avenir des comoriens »

L’Allemand d’Adolph Hitler avait son Roland Freisler, un grand acteur dans la formation du système judiciaire Nazi qui supprimait les principes de l’Etat de droit. Il était le Juge pénal le plus connu du Troisième Reich, un symbole indubitable de la justice injuste. Au service d’Assoumani Azali et non au peuple des Comores, Mohamed Ali Djounaid ne va jamais envier cet homme du troisième Reich. Autre phénomène, l’Hitlerjugend (jeunesse hitlérienne) a ses descendants aux Comores. La jeunesse Azali, est une graine des sicaires et des prévaricateurs. Cette jeunesse qui accepte que la pensée sienne soit détournée pour satisfaire le caprice des intestins et de la notoriété ne détonne rien de positif. La preuve est dans le gouvernement de précarité, dit « renouveau ». On parle d’une jeunesse au pouvoir… oui, mais quand elle est aliénée, c’est une succession et non un changement. Même si les uns ont choisi de s’arranger dans la majorité des cois… mais les autres jugent que dénoncer ces pratiques des adeptes des vaudous, est une nécessité. Et la nécessité fait monter le singe sur l’arbre épineux.

Said Yassine Said Ahmed

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