UN SIECLE APRES, LES COMORES RISQUENT LA VRIOLE… ET LES AUTORITES PLONGENT DANS UN SOMMEILLE PROFOND. 

C’était en 1922, que les Comores étaient entamées par la variole… Une maladie qui a fait six mois et fait plusieurs victimes. Après l’alerte donnée par l’OMS au sujet du Monkeypox, l’épidémie de variole de singe, le monde entier, se préoccupe et est à pied d’œuvre pour la sécurité sanitaire de ses citoyens. Ce cas, devrait être l’occupation du gouvernement avant celle de la population. Mais aux Comores, la situation sociopolitique se détériore. Personne n’est pour personne, la guerre de gueules et de ventres s’intensifie et le citoyen normal se livre à lui-même.  Comme le pétrole, de cette maladie personne n’en parle. Ni autorité, ni citoyen. Le régime plonge dans un sommeil profond, et cumule les fêtes dans les mosquées des Galas. Tant que le pouvoir laisse la population en liberté animale, de s’entretuer, de se dévêtir, de se déplumer, de se faire sauter avec des substances, tant que les différentes folies, et effets enivrant comme les Ukumbi, les mitrio dahoni, les djaliko, sont sans restrictions, tout vas bien. Tant que les décrets inutiles pleuvent, les humiliations azaliennes en faisant des hommes les kleenex du pouvoir, sont en permanence, la vie est belle. La santé de citoyen, reste un cadet des soucis. La maladie de variole de singe commence à rafler le monde et fait ravage en Afrique. Plusieurs pays sont entamés. Les autres sont avertis. Les Comores sont toujours dans les fêtes des mosquées où le pouvoir fait sa politique à chaque vendredi. Commençant depuis l’Afrique de l’Ouest, passant par l’Afrique du centre, cette fois-ci pas loin des Comores, le Sud-est à l’Est de l’Afrique, la situation commence à se compliquer sérieusement.

« La variole de singe, s’attaque aux pays voisins des Comores »

C’est bien les abords des iles Comores. « Le Centre de contrôle et de prévention des maladies, CDC Afrique, a déclaré la variole du singe ou Monkeypox une urgence sanitaire publique de sécurité continentale ». S’est dit que L'alerte permet de mobiliser des moyens et de mieux coordonner la réponse à cette épidémie. La partie de la République Démocratique du Congo, regroupe plus de 95% des cas, mais qui se propage sur le continent au-delà de la zone dans laquelle des contagion ». Les Comores se trouvent aux environs, une situation qui vaut la peine d’être préoccupante. Sinon, ce silence du pouvoir, pourrait être motivé par la pensée à la tune. Plus la maladie ne s’intensifie, plus l’aide des institutions et des Etats viennent en masse. Cette idée sadique, est difficile de décoller dans les cerveaux des autorités des plusieurs pays du monde.  Elle ne date pas d’aujourd’hui cette maladie, dont le Monkeypox ou variole de Singe. Il y a deux ans, plus précisément de juillet 2022 à mai 2023, donc la première fois que l’OMS a lancé l’alerte. Avril mai 2023, Assoumani Azali était à la tête de l’UA, l’Assemblée des préfets de Bruxelles en Afrique, donc au cœur de ce sinistre dossier, mais les comoriens demeurent sans prévention aucune et pourtant la sous région est entamée par cette calamité centenaire. Cette maladie dangereuse et mortelle, maladie qui est facilement contagieuse, passe sous le silence des autorités comoriennes notamment sanitaires. Des gens qui courent vers des nominations et qui effectuent des marathons tous les vendredis en dilapidant des caisses de l’Etat pour les différents amusements dans les mosquées.

« L’urgence doit être de mise »

Endémique en Afrique, le Monkeypox dont variole de singe, se propage rapidement, dont 21. 000 cas en 2024 seulement. Comores, pays où la population est vulnérable sans contrôle sanitaire ni sécurité, sans eau ni électricité, pays duquel l’hygiène prend congé, pays où la population se cultive moins par rapport à ceux qui se passe dans le monde et même dans la sous région, risquent l’apocalyptique endémique. Comme disent owangazidja « eka emwananyuho ngupulwa zenyile basi mndru tsodo loza ». Espérons que Dieu éloigne les Comores de ce châtiment du siecle, mais à la porte des Comores, pays qui veut tout réussir avec des duan, la maladie se positionne depuis qu’elle se trouve dans les pays suivants : Burundi, Rwanda, Ouganda et Kenya. Laxistes, et « je m’en foutistes », les autorités comoriennes, le régime en place qui ne font course qu’à l’argent et aux décrets, laissent empirer la situation. L’insuffisance de surveillance, le manque des tests de laboratoire et l’absence des recherches des cas contacts favorisent le pire, et pourtant 21. 000 cas de Mpox, variole de singe dont 582 décès sont enregistrés dans plus d’une dizaine de pays africains, selon Africa CDC. C’est bien sûr le Centre de Contrôle de maladie de l’Union Africaine. Etudes du 23/08/2024). Selon une autre déclaration officielle de ce centre, une nouvelle souche du virus de variole de singe aussi menaçante, nécessite une urgence de santé publique. Alors qu’aux Comores, la déconnection et l’ignorance à cette sinistre situation sont si fortes. La propagation rapide de ce virus en Afrique, inquiète les experts sanitaires, ceux qui affirment qu'il s'agit de la variante la plus dangereuse de toutes les variantes dévastatrices.

Said Yassine Said Ahmed

COMORESplus

 

 

Retour à l'accueil