Parmi les problèmes qui hantent les îles Comores, le délaissement de l’éducation nationale.   Cela emmène à certains nombres d’enfants à déserter les tables bancs sans vouloir. Des questions circulent : pour quoi les Comores n’avancent pas ? Sans trente six milles pensées, nos soi-disant autorités politiques, qui nous dirigent depuis l’indépendance, sont égoïstes. Et le pays s’enfonce dans sa maladie, dont la crise. Les membres des gouvernements, roulent dans leurs fonctions avec leurs familles et amis uniquement et oublient qu’on leur a confié une mission au service de tout le monde.

A cet effet, l’avenir de notre pays est en danger. Jeunes et moins jeunes, filles et garçons...tous dans le désespoir au moment où, nos dirigeants sont tous calmes dans leurs belles vies. La plupart d’eux, la pleine poche par la sueur du peuple, au moment où ce dernier n’a aucun retour comme récompense. Comme il est souligné, au départ de ces lignes,  l’éducation, est l’un des malheurs que subit l’enfant comorien. Au moment qu’il devient victime de l’année blanche, pendant que son frère d’autre parent faisant parti du régime, soit tout de suite transférée à l’école privée pour sauver sa scolarité. Et parfois, après sa réussite au baccalauréat sa bourse est prête pour qu’il soit envoyé à l’extérieur pour des études supérieures.

Lorsqu’un enfant qui n’est pas issu de cette classe est souri par la chance de quitter le pays pour des études supérieures, la mauvaise pensée, l’affecte : Quand-est-ce que je vais finir mon parcourt universitaire pour regagner le pays, afin de profiter l’administration comme les autres ? Quand est-ce que je vais me réattribuer « le champ ou l’or » qui sont mis en gage pour mon billet avec lequel, j’ai quitté le pays ?  La solution n’est autre que de détourner les biens de l’Etat. Vite, des 4X4, des maisons et même des terrains… Cette circonstance prive de beaucoup de jeunes leurs idées de patriotisme et enfonce le pays dans les crises sans précédent.

Aboubacar Ibrahim Mzé ( Famaré Mbadjini)

Egypte

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