Non, un autre mot que la honte est dérivé. La honte, la honte et la honte. Les fois doivent être comptées mais je ne suis pas sûr que je puisse avoir le nombre exact. Sans compter depuis les Comores, par exemple ce que subissent les mihadji à chaque mois de dhul-hej ; Camaria Air, Massiwa Air, Air Bourbon… France Comores Voyages. A chaque années les comoriens de France deviennent victimes des escroqueries. A chaque année les comoriens de France deviennent Shandza sho melea. Dommage que nous les comoriens, sommes flemmards de dresser un bilan. Le passé passe et voilà, il est enterré avec les douleurs. Aucun souvenir des humiliations, des détournements, des désagréments, des évènements douloureux… mais car l’habitude d’attribuer la responsabilité au bon Dieu est permanente, tout s’installe au point mort. Il y a huit ans, jour pour jour avec la complicité de certains responsables de la Fécom à Marseille sous la responsabilité de Bernard Schwartz, alors directeur d’une compagnie aérienne pirate et certains comoriens parmi lesquels un ingénieur d’origine comorienne de haut niveau d’une société française, Massiwa Air a arnaqué plus de cinq cents comoriens de tous bords de la France. Ces derniers jusqu’à maintenant, restent sans remboursement. Ensuite, il y a environs deux à trois ans ce même FCV a orchestré ce même arnaque à Marseille même. Pareil que la dernière fois, les rideaux et les volets sont baissés et les responsables ont disparu à jamais. Jusqu’à ce jour rien n’est de retour comme indemnisation. Mais comme un homme averti en vaut deux, « yea remwa mbili ha pvendze ». Contrairement à ce que le poète comorien Mbae trambwe a dit dans son célèbre recueil de poèmes, pohori: « ye mbi hunu yio yi siha utsu djua ». Mais dommage, hunu chez les comoriens ye mbi yi siha ujuo ».

 

Le hitmat est actif à jamais dans sa besogne.  

Mais le plus important c’est quoi ? Sans pouvoir autant citer des noms, ce n’est pas de la faute à FCV. Le manque d’appareil ce jour là, est lié à une histoire que je qualifie lointaine et de vulgaire. Mes chers comoriens de Marseille, la mort subite d’un des nôtres, un ami de combat chez les uns et un complice… chez les autres, le tabassage de l’uns des actifs même si dans un autre sens, des comoriens de Marseille et la discréditation de sa personne par lui-même en public et devant une foule nombreuse dans la salle à Bougainville à Marseille… n’est pas similaire à la piraterie instrumentée par les responsables de France Comores voyages sur Marseille ? Si. Mais la cause n’est pas un casse tête. C’est le hitmat lu par tous les comoriens présents à la place d’Aix le 9 juillet 2009. Avec le coran, il ne faut pas s’amuser. Alors certains des concernés de ce hitmat ont trahis la confiance des uns et pourtant on dit prié que celui qui trahira les comoriens dans ce combat… que Dieu le rende le « damné de la terre ». Et voilà, seul Dieu le savant et pas comme FCV, il ne paie pas par chèque. Dieu paie en liquide et cache même. Le problème est que « haina saya sitso ruma, haina nyora sitso ruma pva tsina tadjabiri ngazi pvwezao ». Pour moi, mon problème avec le grand responsable de FCV, le compte se règle en solo. Mais moi je n’ai pas subit la même forme d’arnaque. Moi, j’ai eu l’avion, j’ai voyagé pour les Comores et même je suis retourné mais tellement il est fort en grammaire, mon billet de l’année dernière avait un jeu des mots qui m’aurait fait séjourné dans un marécage. Heureusement, j’ai pu échapper bel. Bonjour dégât et au revoir Agences de voyages comoriennes.

 

SAID YASSINE Said Ahmed

 

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