IMAG0054Ces têtes qui nous gouvernent. Voilà, des secrets qui se déversent comme un fleuve, bien claire comme l’eau de roche. Les lettres de Sidi et Abodo Soefo, crachent tous ceux que ces derniers et leurs semblables tentent de faire en tapinois aux comoriens. L’heure est à faire analyser ces mots qui proviennent de leurs fonds du cœur. Sinon, ces lettres qui ne sont qu’une dispute, sont la marque du produit de ces dirigeants qui se sont crus super-intelligents. La première dispute entre Sidi et le messie Hamada Madi Boléro, jusque celle de ces heures, entre ce même Sidi et Abodo Soefo, définissent cette convention,  dont une cave pleine d’Arsouilles.

Rappelons-nous, du mot avancé par le messie Hamada Madi Bolero, lors de son premier discours plus attendu… quelques jours après son entrée dans le cabinet d’Ikililou Dhoinine. « C’est fini la récréation ». Et nombreux sont ceux qui ont cru au miracle. Alors peut-on dire que la récréation a cédé la place aux chamailles des couvés de la CRC ? Comme des élémentaires, ils s’entre-tapent les secrets sur leurs figures. Que peuvent dire les comoriens, des échanges entre SIDI et BOLERO et entre ce même SIDI et ABODO SOEFO… ? Désespoir ! Et surtout que ces hommes veulent aussi retourner à la cime. Commençant par la lettre de SIDI, le Tic-tac CRC reste connu. Et surtout que le dénonciateur, faisait partie du cercle. Et surtout qu’il n’était pas un simple membre, et surtout que ses frères de luttes lui donnaient confiance. Oui le cabinet du chef de l’Etat Ikilou Dhoinine a ses tubulures vers la CRC. Aucune disconvenance. Donc ces deux voyages, celui du chef de l’Etat comorien, Ikililou Dhoinine et de la CRC, en France pour un seul point de rencontre, ce n’est pas du hasard. Ne soyons pas dupes.

Une mise à l’écart qui démange

Les agissements d’un petit garçon chassé de son équipe du quartier, dont fait preuve Monsieur SIDI font pitié. Et si la CRC, lui avait accordé un retour dans son cercle, aurait-il dévoilé tout cela ? En outre, quelle plaque tournante parle-t-on sur la question de Mayotte ? La délivrance des pièces d’identité… accordée à la France par Sambi pour faciliter les reconduites à la frontière ? Monsieur Sidi doit savoir que les comoriens savent que c’était suite à un refus de visas d’aller à la réunion que Sambi a cédé la Paix aux tueurs de Kwasa-kwasa. Alors cette plate forme, est loin d’être une fierté. Ah, le Nouvel ensemble des Comores (NEC), les comoriens d’esprit n’ont pas oublié que cette constitution de 2001, n’est qu’une institutionnalisation du séparatisme. Encore fierté s’éloigne car des îles dans un séparatisme glacialement éternel. Tout est écrit tout est là. Seul Said Dhoifir Bounou, à saluer. C’était après refus de celui-ci, de présider la séance ayant comme sujet la vente de la comoroneité, dont la honte loi sur la citoyenneté économique que SIDI a présidé la séance et signé. Avec la peau de la CRC, Sidi, Assoumani Youssouf Mondoha, alias Ndjizi, Andoudou et les autres… constituaient les pylônes de cette fameuse loi de la honte. La liste est si longue mais le temps approche.

Un long papier pour esquive.

La longue lettre d’Abodo Soefo est pleine de malice. Encore une fois, les comoriens sont pris pour des idiots par ces super-intelligents. Si l’un des lieutenants du vaisseau CRC Abodo Soefo a mis du temps pour répondre et juste pour ne répondre qu’à SIDI, c’est pour attendre une chamaille politique comme celle-ci ? Et pourquoi lorsque des dires ont été chargés sur lui, aucun mot ? Donc une conscience coupable n’a pas besoin d’un accusateur. Parlant du patriotisme, que ce mot est bien joli ! Relation avec la France, francophile… oui. Mais pourquoi un patriote francophile garde le silence face à la mort des milliers de ses autres compatriotes en plein mer faute d’un visa pour aller chez soi ? Il y a de quoi à être curieux monsieur le patriote. Quand il parle de la cause de son éjection du gouvernement en 1991, dont la confiance de l’EEDC à l’EDF international, il a fallu attendre 22 ans, et tout de suite après s’être attaqué par son petit frère pour informer les comoriens de ce qui s’est réellement passé. La vérité n’est pas à coté. Donc on la veut avec grande précision. Ensuite, « … aucune demande n'a été envoyée à l'ONU pour demander le retrait de ce dossier à l'ordre du jour des cessions de l'Assemblée générale des Nations Unies… » Pourquoi ne pas démentir au moment où les accusations sur ce sujet coulaient comme fleuve ? Le moment où un courrier sur ce sujet, signé de sa main circulait sur les medias ? Il a fallu  attendre encore les mots du petit frère pour faire un démenti ?

Duel couvé par la CRC ou l’ombre lointaine de F.D ?

Sur la question de la déportation du feu Djohar, un paragraphe sans rien dire. Toujours tenter d’impressionner par une si longue lettre sans aucun contenu. Sinon, dès la médiane, jusque la fin de la lettre, que des noms cités pour brouiller ou impressionner ceux qui la lisent. Aucune réponse appropriée. Pour finir, ni l’âge ni l’expérience… ne permettent pas d’écrire sans fondement ni preuves. Voilà ceux qui se cachaient dans la forêt CRC. Le manque de confiance qui s’installe aussi dans le cabinet présidentiel, bien collé aux grands de cette cour. Sidi, Bolero, Abobo Soefo, sont tous pareils, et voilà, quand Sidi a parlé d’un aménagement éventuel pour laisser le terrain à la CRC pour une seconde gouvernance suite à des trahisons, tout cela n’est pas tombé du ciel. C’est un coup bien préparé et bien su.

SAID YASSINE Said Ahmed

COMORESplus

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