RIFKI, TA PEAU NOUS A SERVI. ALORS CASSE-TOI ET DISPARAIS A JAMAIS DE LA SCEINE
27 févr. 2012Certains ont compris et d’autres se posent la question, selon laquelle, où se repose la vérité au sujet de l’affaire de ladite corruption ou tentative de corruption ? Said Abdallah Rifki, devenu ancien secrétaire général du Muftorat depuis le 24 décembre 2011 est relaxé le Mercredi 22 Février 2012. Mais pas blanchi car la salissure le suit toujours et détruit à jamais son image. Même si la justice avec ses mots et ses techniques juridiques a fait comprendre à l’opinion publique qu’elle a fait son travail, suivant les orientations de cette institution mais le ministère de l’intérieur et la commission chargée de lutte contre la corruption, doivent des explications à la population comorienne. Comment Rifki est-il inculpé, incarcéré et relaxé et enfin libre sans lumière ? Comment donc au complet de l’atteinte de son image, la cour d’appel de Moroni, affirme le manque d’éléments pour… des chefs d’accusation à cette personnalité politique et religieuse ? Oui un DSK à la comorienne mais avec une autre nature d’affaire. Rifki est sali par les siens et le ministère de l’intérieur, mission accomplie. Mais dommage, les comoriens flemmards d’analyses, diront : « Ndizo mgu ya ndzao » et ni analyse ni rien à propos de cette situation. Et même Said Abdallah Rifki, la première victime du mascarade et qui devrait manifester son indignation à ce déshonneur, auprès de la justice comorienne, même s’elle est injuste, ne dira que : « Tsi samihi, alhamdulillah, ndizo mgu ya reda », signe de faiblesse paralysant la situation sociopolitique du pays. Sinon les auteurs de cette brigue doivent être avertis que l’eau sale avec laquelle Said Abdallah Rifki est éclaboussé peut éclabousser n’importe qui de leur rang.
L’absence du directeur du cabinet du ministre de l’intérieur, un des grands acteurs de la scène au procès, le refus de l’audition du patron de l’AGK au tribunal de Moroni… n’étaient que pour dissimuler les empruntes. Nous devons savoir que les luttes de classes et de places sont monnaie courante aux Comores. Alors Said Abdallah Rifki est victime d’une machination dont la cause est à découvrir aux moments qui viennent. Outre, nous devons savoir aussi qu’aux Comores, la loi c’est ce qui arrange le maître. Comme sidonia plus+, caisse unique de l’Etat qui n’arrangent qu’une partie des membres du régime… la commission de lutte contre la corruption aux Comores n’est qu’un costume sur mesure et un et de l’acide pour détruire les mal vus ou les éléments jugés dangereux pour les autorités en place. Alors sans doute, Said Abdallah Rifki, doublement autorité, c’est-à-dire autorité politique et religieuse… est sans doute sacrifié. Le manque de sentiment et de réactions de son parti politique FNJ, un des composants du régime Ikililou et disposant du bâton magique face à ce dernier, le manque d’opinions et de réaction de l’institution dont il était secrétaire général, c’est-à-dire le Muftorat ainsi que de ses frères de lutte autrement dit religieux… est une preuve claire comme de l’eau de roche… qui puisse aider à la découverte de la réalité du fait. Mais dommage car « uvuu upvisi Said Abdallah Rifki, uzimiha ».
SAID YASSINE Said Ahmed
(COMORESplus)