Il est très difficile d’établir un bilan de l’état géographique du tourisme aux Comores. ou Sinon «les mots sont très faibles pour présenter un tableau de bord, mais il est temps d’examiner le plus près ». Le nombre des chercheurs qui travaillent régulièrement sur le tourisme est très réduit et ceci apparaitra de façon très nette dans les registres.

Certes le nombre de thèses de Doctorat ou DEA soutenus dans les universités, notamment européennes ou africaines, peut paraître assez étoffé. Mais le fait qu’il s’agisse souvent d’étudiants qui abandonnent la recherche dès la soutenance de leurs thèses et leurs BTS ainsi que leurs insertions professionnelle rarement intégrés dans des équipes de recherches travaillant sur les thèmes homogènes et continus. C’est plutôt simple. Il s’agit d’une publicité institutionnelle qui peut réaliser et vise essentiellement à instaurer une bonne image de marque de ces jeunes diplômés dans le domaine de tourisme ainsi que les produits touristiques comoriens sur les marchés spécifique. Cette image doit être durable afin de résorber les effets néfastes des campagnes menées par certaines parties à l’encontre du développement touristique de l’union des Comores.

La publicité de l’ONTC (office national du tourisme de Comores) vise également dans cet angle de réflexion, à réaliser d’autres objectifs à savoir la sensibilisation pour faire connaitre l’existence du produit comorien. La persuasion du consommateur pour le choix des Comores, pour son voyage est aussi poursuivie. Je me demande souvent, pourquoi depuis fort longtemps le tourisme aux Comores est stagné, c'est-à-dire la destination touristique vers les îles des parfums est en pourcentage faible au moment où les îles sœurs sont en croissances ? Oui peut être que depuis notre cher hôtel qui a tant marqué l’accent sur l’histoire du tourisme « GALAWA BEACH » est rendu néant, ou c’est une raison parce que il n’y a pas des plans de vendre les promotions touristiques et/ou peut être la majorité de la population récepteur Ne donne pas valeur à ce domaine.

En effet, le plan de communication est l’outil principal que le ministère de Tourisme, les accompagnateurs, les professionnels du tourisme, tours operateurs, agences de voyages, chaines hôtelières doivent se saisir afin d’attirer l’attention l’opinion sur la potentialité du tourisme aux Comores. Et en valeur leur cites. Par ailleurs, la fragilité du tourisme de montagne visant à montrer la belle verdure volcanique ; au niveau écologique et culturel, est devenue un objet nécessaire. il faut donc intégrer dans ce plan. Ce d’où l’importance d’intégrer ce plan ; des exemples concrets et des expériences vécues dans ce domaine de tourisme de montagne et des cites balnéaires, afin d’éviter les infractions commises et prévoir les risques et les solutions adéquates. En quelque sorte, ce plan de communication ne concerne que les hommes de terrain. n’implique que les professionnels exerçant déjà ce genre de travail dans le domaine du tourisme de montagnes et les plateaux, pour les garder toujours ajoure par rapport aux innovations, aux modifications ou aux nouvelles réglementations et textes de loi au niveau national ou international.

Vu l’intérêt particulier que nous accordons au secteur touristique pour triompher dans l’économique et social et créer des emplois, et partant de notre souci d’augmenter le flux de touristes afin de le hisser au niveau des potentialités touristiques naturelles et culturelles considérables de notre chers pays. Vous n’êtes pas sans savoir que les nouvelles technologies de l’information, de la communication et la mondialisation de l’économie impliqueront des mutations qui placeront le tourisme en tête de l’industrie dans le monde.

Aussi, avons nous tenu à vous faire part de notre vision quant à la mise à niveau de ce secteur que nous considérons comme un pivot de développement afin que nos îles puissent bénéficier des parts du marché touristique qu’elles méritent au niveau international et dans la zone prometteuse de l’océan indien. Notre objectif est de réhabiliter le secteur du tourisme en tant que secteur économique d’une grande priorité. C’est justement un nouveau plan de stratégie qui peut mettre en place les atouts qui consistent à œuvrer pour un bon développement du tourisme dans nos îles tout en revalorisant la catégorie du tourisme comorien, en particulier dans le domaine de restauration.

Charif Idriss

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