SAID YASSINE Said Ahmed

Ceux qui sont tombés amoureux de la notoriété, sont nombreux. Sinon les aperceptions sont différentes. « Attendez-moi là et regardez de gauche à droite, si quelqu’un arrive ». Telle est la phase du chef, bien retenue par le guetteur du pouvoir.  « Ne me dites rien, estropiez-le ». Encore un mot. C’est bien avec cette couleur que se présente l’entourage du Maitre, du chef de l’Etat en tout cas. Et cet état épie, fléchit la cavité à penser, à réfléchir, à s’auto-suffire. La communication aux glapissements… en manque aussi d’orientation. C’est parce que le chef se trouve dans un dilemme au milieu d’une confluence. Ces décisions calamiteuses illustrent ce cas. Cela aussi explique l’évanouissement presque éternellement de la communication de la Cour. Beit-Salam souffre, car privé de boussole. Les communicants de la cour, adoptent la politique de l’huile au coco. Beit-salam souffrent de manque des yeux claires, même si le « M’as-tu vu » est ces derniers temps en berne.   

« La tune n’aime pas le brut »

Même si elle est toute silencieuse, la tune fait des ruines. Ruine de mœurs, ruine de dignité, ruine d’amitié, ruine de fraternité… donc la tune prive l’homme de la probité et de son humanité. Au point donc de s’obliger de dire ce qu’il ne fallait pas, de reverser sa langue, de travestir son cerveau… Pas sur les trottoirs, non. Ces ayant langue rouge d’un sorcier, sont à la fois guetteurs du pouvoir qui observent de faille. Ne ce sont-ils pas eux avec lesquels on indexait et combattu la mauvaise gouvernance et l’affluence des TGV d’autrefois ? Ces TGV (Très Grands Voleurs) de l’Etat, sont malheureusement loin d’être extirpés, car ils bénéficient de la force des jeunes noceurs pour s’enraciner.

Comment un homme qui n’a pas changé peut faire changer ? Ce génocide moralo-intellectuelle, est un suicide. Ici aussi je parle des jeunes fourvoyés et grisés à cause des gargouillements des intestins… et en quête de la vie de luxe, de la vie rose… Vicieux, les mêlons au gout délicieux, font perdre la tête, au point d’oublier la valeur humaine. C’est pour cela qu’on voit ici et là. Sous la toile, l’amer d’hier transformé en miel aujourd’hui… parce que l’homme amer est au sommet. N’est-il pas honnête d’accepter que l’amer est amer pour ceux qui veulent le prendre pour calmant, au lieu de le rendre en miel ?

« L’homme et son désaffection à son pays »

Parmi les points marquant le désamour envers son peuple c’est de le trahir, une fois que celui-ci, l’avait gracié sans recours. Cette trahison, a poussé depuis le replacement des sacripants aux postes qu’ils désossaient, pendant un pouvoir de sept ans, depuis 1999 précisément. Azali est méchant. Un pouvoir qui conduit les Comores où elles refusent d’y aller. Azali et son pouvoir ont scindé l’espoir des iliens en deux. Azalai, il a mis son peuple à ventre plat. Il a planté des mauvaises plantes qui commencent à faire disparaitre les valeurs traditionnelles de notre pays. Azali qui n’arrive pas malgré la tolérance du peuple, à faire regretter à celui-ci, la misère de ces prédécesseurs.

« L’injustice est moins chère »

Mais quelle méchanceté, lui qui se met à démolir la maison qu’il a trouvée debout ! Tout le monde l’admet. Même les plus courtisans. Mais ayant des creux de ventre, ceux-ci jouent le semblant. Ils s’enivrent involontairement avec une substance appelée pouvoir. Ils pensent trop et manient trop à l’injustice que la justice, car l’injustice coute moins cher et ça leur permet de faire des économies…  Injustice de démolition de l’hôpital, injustice de commander des Groupes électrogènes usés, injustice de la mise à mort de la Cour Constitutionnelle, et instaurer une institution tailleuse, qui l’habillerait de costume taillé sur mesure. Injustice d’asphyxier la justice, de loger des canailles dans l’ambarcations vers emergence 2030. Abou Achiraf, un car qui parle. Injustice qui conduit un peuple droit au mur, donc le référendum de mois de juillet qui vient.

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