COMORES : LE POUVOIR TUE FAYCAL ABDOUSSALAM, PUIS OPERE SA PROFANATION
28 août 2020
Par Said Yassine Said Ahmed
A peine de sa naissance, le régime en place aux Comores, on le reprochait d’une mauvaise gouvernance ; des ministres benêts et profanes, des directeurs escrocs, des hauts fripons… On s’indigne contre les vols, les viols, le mépris, en tout cas un gouvernement voyou. Et puis le peuple remonté contre une dictature, un régime liberticide, qui tue, qui opprime, qui emprisonne, qui empoisonne… Mais cette fois-ci les choses deviennent aussi bestiales… hors culture et religion. Avec l’entreprise de sadisme avec la garantie de Beit-salam, l’histoire du feu Apache exposé aux yeux du monde sur le capot d’une voiture par le GOUROU de Beit-salam, chef de l'état-major lors du fait, se déterre. Et le peu de comoriens qui n’auraient pas cru cela y croient. L’adhésion d’Azali, à la décapitation du journaliste saoudien Djamal Khashoggi, et qualifiant cela de cuisine interne… est aussi un aveu.
« Sur le dos des danseurs de Beit-salam, un cadavre »
Ces jours, tout est claire. Qui dit Beit-salam dit Azali qui est le maître du ciel et de la terre du castel. Lui le nourrisseur des entreprises « Loubna Yazid, Noir c’est noir » et autres. Il y nourrit les bouches des artisans de ces outils, donne l’ordre des plumes, qui cultivent la haine par l’animalité dans la clandestinité. Donc une vraie société sans Etat dans l’enceinte du castel de Befuni. Cet Azali -Beit-salam, qui est le garant suprême de la « défense et la justice », a tué froidement commandant Fayçal Abdoussalam en le piégeant. Aride est celui qui croit autrement. Puis sans respect, les entreprises "Loubna Yazid et Noir c'est noir" de propagande en accord avec la défense belouenne, dont la branche de brigade de recherche se mettent à profaner leur victime sans aucun respect ni à sa famille, ni à ses proches, ni à l’humain. Ces lâches qui se cachent derrière les noms de leurs outils et dont les vrais noms des vraies personnes sont connus, s’amusent délibérément avec l’humain contre quelques billets de banque.
« Une force maléfique »
L’entreprise de propagande et non de communication de Beit-salam, composée des belles plumes et des petits francs-tireurs, est une marque d’une vraie déshumanisation. Azali a su évaluer la faim de certains pour déshumaniser une classe dont une partie de ses proches, auxiliaires. Il serait benêt de croire autrement. Il serait stupide de se tromper d’origine du mal. Le silence apparent, qui ne favorise personne n’est qu’une petite goutte dans l’océan. Beit-salam sous les souliers d’Azali, par la voie de Kandani, la défense de Belou en tout cas, a tué commandant Fayçal, pour des raisons qui n’engageaient qu’à eux. Mais une tuerie qui bouleverse un monde. Et ça ne s’arrête pas là. Beit-salam cherche à détourner l’esprit du peuple. La diffusion de la vidéo de l’interrogatoire forcé du commandant Fayçal Abdousalam dans les locaux de la brigade de recherche, donc une propreté de Beit-salam où tous se fabriquent, est une insulte à ce mort à ce martyr donc leur victime.
« Beit-salam, une conscience coupable »
L’argent, les actes pervers, le pouvoir, la promesse, les recrutements des proches, les actes illicites dans la liberté totale et l’odeur du pétrole, ce sont le sang qui fait fonctionner ces propagandistes du Vaisseau de la terreur. Qu’avons-nous retenu dans un communiqué moqueur de Beit-salam, manoir garni des experts en plumes ? « …aucune information diffusée sur les interfaces de Beit-Salam n'a fait l'objet d'attaques pour fausse nouvelle ou diffamation ». Un communiqué dont le vocabulaire comme dans les ongles de Loubna Yazid. Jamais parce que les comoriens n’ont pas de temps à perdre, sachant que le mensonge vient de ce manoir. Le Service de propagande et profanateur de Beit-salam, est un moulin de production de haine entre les comoriens service commandé d’Azali. Vouloir se déresponsabiliser est inutile. Il se sait.
« Entreprises de propagande »
Et dans la clandestinité leurs entreprises démolisseuses et chosifiant l’homme en permanence, ces lâches qui n’assument pas leurs actes ne font qu’engendrer la haine entre comoriens. Beit-Salam c’est Azali. Tout comme le journal qui s’intitulait « Signal » le principal journal de propagande publié par les nazis durant la Seconde Guerre mondiale. Il était célèbre pour ses photos couleur de qualité, chose exceptionnelle pour l'époque, tout comme « Loubna Yazid, Noir c’est noir » les instruments de l'équivalent des Nazis aux Comores, donc CRC. Le but est de faire parler de la dictature dont les hommes et femmes ont l’image des pestiférés…dans l’opinion publique comorienne, pire que le Maitre de l’affaire intertraid. Sachons que leurs composants n’échappent pas à la vigilance et au su des comoriens même si nombreux ont peur de tomber sous les balles réelles de Beit-salam, comme Fayçal, Moutu et Salim Nassor, sans oublier Wirdane, dont le nom n’a jamais été évoqué.
« Les tortures et leurs provenances »
Et Loubna Yazid, pourquoi ça ne parle pas de Wirdane, le survivant de l’opération « tuons Fayçal » ? Un demi-siècle déjà, les tontons macoute d’Haiti renaissent aux Comores. Ceux qui tuent des humains, les frères, et les exhument. Ils les décapitent et se promènent avec leur chaire au mépris de l’homme, de l’humanité. Fayçal est tué par Azali et son club, mais la mémoire de cet homme honnête, est profanée par cette entreprise de l’homme au cœur de pierre. Ces mêmes lignes du manoir qui ont fait boire Mr Soular ses urines et que l’ancien ministre des affaires étrangères de ces tortionnaires avait ironiquement promis une justice en se moquant du peuple car su que ça ne sera jamais produit. Qui ne sait pas que la défense, les tortures…, de ce régime émanent de Beit-salam, où sont stockées les armes… dont kandani est désarmée par la dictature. Belou le grand guillotineur n’est pas à négliger.
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