COMORES, LE POUVOIR A BEIT LE VICE D’ADMIRER LES DECES EN CHUTE
23 janv. 2021/image%2F1385848%2F20210123%2Fob_2c3e62_52932978-957140444484860-4290934630946.jpg)
Il est temps que les comoriens prennent l’habitude de sentir les douleurs légales. Cela permettra à la réflexion, à la méditation… conduisant vers les dénouements. Ceux qui ont fait la mathématique, peuvent nous parler de proportionnalité. Plus de 2000 comoriens sont testés positifs dans une population de moins de 800000 hts. Bien sûr ce le chiffre donné par le ministère de la santé qui est loin de se comporter probe et honnête pour cette cause. Plusieurs localités comoriennes en alerte… Des morts et des ébréchés à fond par le Covid-19. Les composants du régime en place désapprennent cette situation. La dictature, la vraie dictature est l’ennemie indéniable d’un peuple. Une vraie dictature comme celle du colonel Assoumani et ses hommes et femmes. C’est l’une des rares choses qui ne connaissent pas un changent quelles que soient les générations. Une dictature est une dictature et les toutes, se ressemblent. Sans doute, le sang, les liens et les connivences empêchent l’armée du pouvoir en place d’exterminer le peuple. Même si quelques usages meurtriers s’opèrent.
« Un laxisme et le mépris »
Mais en réalité selon le colonel tyran et ses intimes, la population comorienne doit disparaitre en grande partie pour le confort du pouvoir. C’est bien le syndrome du pétrole. Alors là, le Covid-19 ou la variante Sud-africaine, facilite leur tâche. Elle tue en bénéficiant la bienveillance que le pouvoir lui réserve. Un pouvoir qui reste de marbre, sans aucune réaction, donc laisse la maladie ravager à toute vitesse. Si docteurs Ahamada Saïd Fazul et Tadjidine Youssouf disent qu’ils sont victimes d’un règlement de compte, cela veut-dire qu’ils ne reconnaissent pas leur délit dans une population vulnérable. Au lieu de respecter le protocole sanitaire pour sauver le reste, ils ont bafoué ces règles en cachant leur positivité au coronavirus. Dr Ahamada Saïd Fazul et Dr Tadjidine Youssouf respectivement ancien président du comité scientifique et ancien membre du sous-comité scientifique du cadre de la gestion et de coordination de la crise de la Covid-19. Leur indifférence n’est pas innocente ni ne souffre d’aucune peur.
« Conseil de ministre presque positif »
Acte qui fait plaisir au colonel Azali qui a exposé le masochisme le cimetière Ntsudjini lors des obsèques du Mufti Charif Toihir, l’année dernière. Azali qui a mouché en plein pandémie, sans masque et mis tout de suite le mouchoir usagé à la main d’un de ses gardes du corps au lieu de le jeter par terre. Outre, depuis au moins une semaine, quelques uns de ses composants sont positifs et proches des cas positifs. On prend l’exemple d’un de ses secrétaires d’Etat, déclaré positif. Et ca personne n’en parle. Et pourtant Azali et son équipe parmi lesquels, des ministres et des secrétaires d’Etat, étaient en conseil de Ministre, la dernière fois que ce secrétaire d’Etat était vu par la table ronde. Au lieu que colonel respecte le sept jour d’isolement, il fait comme son Belou, patrouille de partout pour ses sorties inutiles… qui ne sont que couteuses avec le méchant virus.
« Et le mépris » ?
Donc une population trépassée par le Covid-19, c’est un boulot fait par la nature. Déjà la situation à Mwali prise à la légère par le régime, jusqu’à ce que cette île soit vidée de sa population, doit réveiller tout le monde. Mwali souffre et est abandonnée par le pouvoir en place, qui a encaissée plusieurs caisses de Covid-organic venant de Madagascar il y a presque un an. Comment colonel Azali a eu le cœur flegmatique le 24 décembre 2020, d’autorisé dans son allocution les rassemblements, les mariages… donc différents festivals, moment où le rapport sur la situation sanitaire des Comores notamment Mwali lui a été donné Une situation. Jusque maintenant, il s’enferme dans son arrogance et son déni de fléau. Malgré cette calamité, Azali est fidèle de son indifférence permanente. Donc aucune parole, ne serait-ce que pour essayer d’amadouer ces comoriens agonisant du covid-19. Conscient que le peuple comorien aime la distraction et les disciplines se respectent rarement, il préfère les livrer à ce méchant virus avec son silence.
Said Yassine Said Ahmed
COMORESplus