Né le 24 mars 2019 aux Comores, le régime tyrannique portant le nom d’Azali-19, vient d’être joint par le covid-19, un cataclysme planétaire, donc deux tourments qui prennent la population comorienne en tenaille. A l’instar du président du parti CRC et aliénés, colonel Azali et de son directeur de cabinet Oussoufa Belou, l’arrogance, l’antipathie et l’impéritie au sein du régime en place aux Comores se tonifient. Les Comores surnagent dans une calamité. Certains diront que cette pandémie est planétaire, oui bien sûr. Mais cela n’est pas synonyme d’abdication. Et autres diront que nous devons mettre de côté l’enfièvrement politique ou "militantiste, oui, sans doute. Mais cela ne veut pas dire qu’on doit désindexer les responsables et les coupables de l’abondance du covid-19 aux Comores, pour une prise de conscience citoyenne. Aujourd’hui la variante sud-africaine du covid-19 fait ravage aux Comores. Pire que la variole de 1922, que le cholera de 1974 de 1997 et de 2007. Cette épidémie bénéficie du mépris et du dédain… du pouvoir face à la population, pour sa profusion sur le sol comorien.

« Un appareil respiratoire de marque Bobosha »

Ceux qui préoccupent ce clan prenant les comoriens en otage, c’est l’éternité dans le pouvoir et la tune. Que la population trépasse ou pas, ils s’en tapent les reins. La preuve est que ces gênés ont préféré débloquer plus de 100 000 € au total, pour l’extradition d’un homme supposé menaçant le régime, depuis Madagascar vers les Comores, à 30.000 € pour achat d’un appareil respiratoire pouvant sauver des centaines des vies déjà en sursis de la variante sud-africaine aux Comores. Donc cet appareil respiratoire Marque BOBOSHA, est arrivé aux Comores à bord d’un avion spécial depuis Tana ce jeudi 28 janvier 2021. Ces 100 000 € ont été repartis en location d’avion et des pots de vin à certaines autorités malgaches. Autre phénomène ; la vie des comoriens… est modique que le service de Douanes. Là, un fond a été débloqué, pour l’achat d’un scanner dont l’utilité est mystérieuse. Selon certains que le montant serait de 4 milliards de fc. Et les différents séminaires budgétivores, des cérémonies au Retaj... ?

« Belou le profanateur des valeurs de l’humain »

A l’heure actuelle, le peuple a besoin d’un soin, du confort, des matériaux médicaux, de l’énergie, de l’eau et du respect. Malheureusement ceux-là ne vont pas dériver du gouvernement comorien. La vraie estampille de ce pouvoir Mr Oussoufa Belou, qui sans doute est le fer de lance du colonel Azali. Que pouvons-nous retenir tombant de la bouche de cet homme sans scrupule. Dans la pitoyable conférence de presse des guillotineurs au pouvoir, le Directeur de cabinet du colonel Azali, a craché sur l’humain : « Omar Mouhsine ment. Un de nos médecins est allé le voir, il l’a trouvé entrain d’écrire un texto pour propager des mensonges…comme quoi ils ne sont pas assez pris en charge. Si c’était le cas, en cinq jour de covid-19, Omar Mouhsine serait mort ». Disait le missionnaire du colonel Azali à qui il a chargé de sales boulots Mr Oussoufa Belou. Mais quelle aversion pure est simple à l’humain ? Feu Omar Mouhsine a rendu l’âme à, l’hôpital de Samba, après avoir tiré les sonnettes d’alarme.

« Les cruels et leur mésestime au peuple »

En Angleterre, en un an, plus de 100 000 morts sur une population de 57 millions d’hts. Le premier ministre britannique, Boris Johnson s’excuse et assume ses responsabilités quant à cette perte humaine. C’est ça un responsable. D’ailleurs lui qui a une proximité avec son peuple, qui met tout pour lutter contre ce fléau mais quand même il s’excuse donc il s’accuse. Là aux Comores, malgré les alertes lancés par les comoriens de tous bords, le colonel Assoumani et sa tyrannie, se claquemurent dans leur orgueil en minimisant la situation qui déborde, et fait plusieurs victimes. Avec son fer de lance contre le peuple Mr Oussoufa Belou, colonel Azali fait saigner les cœurs des comoriens. Les comoriens tombent comme des mouches grillées au vu et au su de ce gouvernent insensible. Les décès s’amplifient à chaque lever du soleil.

« Le covid-19 et Azali-19, un grand châtiment »

Que tout le monde prenne les précautions, que tout le monde respecte les gestes de barrière, que tout le monde soit conscient qu’on est trop proche de la maladie, que nos ombres. Mais que tout le monde n’oublie pas la responsabilité du pouvoir. Il faudrait prendre les mesures à temps imposé. Dommage. Lorsqu’ils savaient que le Sud-Afrique est entamé, ils s’amusaient avec des campagnes pour se rendre visibles. Lorsque l’île de Moheli était entamée, il faudrait préserver les autres îles, sans pour autant omettre la suivie de l’île de Moheli. Pour rappel 100 000€ pour l’extradition de Bobosha depuis Madagascar et 00.00€ pour des appareils respiratoires. Le Covid-19 et l’Azali-19, ces deux pouvoirs de mal nés en 2019,une calamité aux Comores… doivent rester gravés chez les comoriens... 

Said Yassine Said Ahmed

COMORESplus

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