« LE CHAYHAZALI », UN VARIANT FINANCIEREMENT INDIGNE AUX COMORIENS
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Photos: Site de l'AGID.
Un autre variant, spécial Comores tue comme les autres variants. Sauf que celui des Comores, tue en double épée. Aucun comorien n’est épargné car sans humanité. Il s’agit d’atroce variant au nom de « Chayhazali ». C’est bien un variant composé du Chayhannage anti-peuple et d’Azali-19, donc patibulaire au sein du peuple comorien. Quand un comédien, qui pendant des années se trouve dans son art et qu’il n’a jamais faire rire ni décompressant, cela veut dire que c’est un comédien de mauvaise foi ou novice. C’est ce qui laisse affirmer aujourd’hui aux Comores avec le régime « dictacratique ». Ces comédiens dépourvus du sens de l’humour, sont des aigrefins, et revendiquent leur désamour à leur peuple. Le premier des fiances des Comores, le plus mauvais dans l’histoire de son pays, et son père adoptif par qui est-il nourri, dessinent aux yeux du monde leur incompétence… Se déshydratant de la sueur du pauvre peuple : factures d’électricité et d’eau inexistantes, taxes douanières plus élevées, impôts sans nom… invention de NIF (Numéro d’Immatriculation Fiscale).
« Le NIF pour un sachet, un vrai larcin »
Un simple sachet moins rempli des médicaments ou des masques, envoyé au pays… te coûte le quadruple de son prix d’achat loin du pays. Prendre un NIF au service des impôts, payer une somme, plus les allers et retours dans l’incertitude d’avoir ce que l’on veut à temps, donc son paquet. Deux photos dont l’utilité est toujours invisible… juste parce qu’on veut son petit sachet contenant de doliprane ou des décorations. Malgré cette somme, la taxe n’est pas exclue. Un pouvoir qui veut se faire de la tune, donc des dividendes qui filent dans les poches de composants de ce pouvoir. Oui qui a volé des élections chaparde l’argent de l’Etat. Ce régime pacha, caractérisé par le variant « Chayhazali » n’a qu’étancher le peuple pour remplir les cuves tribales. Ce duel en complicité avec leur assemblée, oblige le comorien de mourir de faim pour nourrir la tyrannie avec un train de vie à haute vitesse. La douane est monté à 150%, l’arnaque y demeure car, tu paies plus de deux fois, pour une seule marchandise… Donc une douane qui démotive les investisseurs par ses mesures anti-peuple.
« Un parlement sous les bottes »
Le ministre des Finances du régime tyrannique en place un des deux composants du variant « Chayhazali », n’a de cesse de traire les mamelles des chamelles faméliques, donc du gueux peuple pour y tirer des goutes de lait afin de se nourrir. C’est bien avant l’escroquerie de nature état-civil. Toujours traire les mamelles des chamelles diaphanes avec l’aide des députés nommés. La honte aux députés quelle que soit la nature du chemin qu’ils ont emprunté pour l’hémicycle de Moroni. Honte à ces mandataires piliers constituant le support de ce régime hostile à son peuple, et qui le tue à petit feu. Honte à ces hommes et femmes et surtout à ceux qui ont des notions dans leurs têtes, préfèrant la subordination « chayhazalienne » à leur liberté de penser et de vivre dans être redevable. Le 16 décembre 2020, ces couvres-dictature, ont à l’unanimité donné le plein pouvoir à Said Ali Chayhane de ravir le petit peuple et le faisant saigner, par une scandaleuse loi de finance sans contrepoids ni discussion.
« le Chayhazali, un variant budgétivore »
Alors que le train de vie des composants du pouvoir en place aux Comores est toujours en hausse, le soi-disant ministre des finances, donc créancier du colonel Azali, Said Ali Chayhane, déplume le petit peuple en lui privant de ce qu’il n’en a pas. Ce peuple qui n’a que d’yeux pour voir ce qu’il n’en a pas. Hausse de prix de papiers d’Etat-civil : Acte de naissance 2500 fc, copie intégrale d’acte de naissance 2500 fc, certificat de résidence 5000 fc, fiche individuelle 1500 fc, acte de mariage 7500 fc, copie intégrale d’acte de mariage 7500 fc, acte de divorce 10000 fc et enfin acte de décès 5000 fc. Une augmentation entre 50 et 100% en moyenne de ces papiers. Sans doute, cela encouragera le pouvoir de continuer à tuer le peuple pour la production des certificats de décès. Aussi moyen de pouvoir soutirer sur une diaspora demandeuse à foison de ces documents. Avec ces mesures, ce pouvoir prétend combler ne serait ce qu’en faible pourcentage, le vide causé par l’absence de mariages de cette année.
Said Yassine Said Ahmed
COMORESplus