La chance pour les autorités coupe-jarrets aux Comores, est le désastre pour ce pays et son peuple. L’oubli, le manque d’analyses, la carence d’investigation… sont l’éducation reçue par les comoriens depuis 1990, période du règne de Mwangaza-RDR. Ces quatre-vingts disards, sont en grappin dans les pouvoirs jusqu’aujourd’hui. Des vermines qui rongent les Comores depuis au moins 30 ans. Des missionnaires nuisibles… Les uns sont de la Maussade, les autres sont couvés par la France-Afrique. Autres sont des adeptes des vaudous et certains incubés par la franc-maçonnerie. Ces dernières catégories sont dans le pouvoir actuel. Il y a un  moment, ces ligues accusaient les chiites, donc tentent à le démolir. Ils prenaient A.A Sambi pour cible. Un monde a cru… que c’était contre le chiisme. Cette fois-ci les nuages s’éclipsent. Ces cabales sont tous contre l’islam. Ces allergiques à l’islam ont marqué clair depuis Fomboni en 2001. Faire disparaitre la République Fédérale Islamique des Comores…, mission accomplie.

« Les démolisseurs d’une nation. »

Assoumani Azali a réussi à faire disparaitre cette République. Ensuite le drapeau, puis les écoles coraniques, les écoles publiques… et inculquer à l’enfant comorien la criminalité et le rejet de l’islam et les valeurs du pays. Ennemis de l’islam, cette fois-ci Houmed Msaidié et Assoumani Azali s’en prennent à la religion musulmane de bout en bout. Eux qui ne sont pas sunnites mais châtient quand même les chiites. Supprimer carrément l’islam aux Comores, est la mission confiée à ces concepts cités ci-dessus. Des Ulémas, sont terrorisés et décervelés, certains drogués par la tune et deviennent bénis oui, oui.  Ils appuient colonel Azali et Houmed Msaiddié pour châtier leurs pairs. Les muftis, les cadis et les différents Ulemas du régime servent d’exemples. Tous comme les préfets. Et la légalisation de cannabis aux Comores, l’aval au soutien d’Azali à l’exécution des Ouigours musulmans Chinois… servent d’exemples. Sans doute, la citoyenneté économique ne fait pas partie des causes de la détention d’’Ahmed Abdallah Sambi.

« Projet d’extermination des prêcheurs »

Cette fois-ci, que le vrai visage islamophobe des autorités du pouvoir dans un pays dit musulman se découvre, tout est clair. C’est la religion musulmane qu’Azali, Houmed Msaidié et la brigade… veulent annihiler. Donc exterminer les imams et les Ulémas indociles, en échange du pouvoir et des sommes énormes d’argent. Ils vont à la mosquée, ils prient… mais ce n’est qu’une trompe l’œil.  Pharaon et Moïse portaient les mêmes habits. Omar Ibn-al’hutwab et Abu djahali portaient les mêmes habits, parlaient arabe et connaissaient l’islam… Aux Comores de même. Un ministre de la justice et des affaires islamiques confié la tache de capturer des ulémas, les foutre en prison et qui empêche les nécessiteux d’être aidés, c’est le summum de la mécréance. Maintenant c’est Said Mohamed Djibril qui fait ce que le pouvoir devait faire, devient la cible de celui-ci. Le capturer, l’enfermer pour qu’il soit châtié en prison, est la visée du pouvoir. Djibril qui par son service éléphantesque rendu à une partie miséreuse de la population, reste un éperon dans le cœur du pouvoir.  

« Abou Rukane est capturé »

Aujourd’hui, Houmed Msaidié et colonel Azali avec leur androïde, Mohamed Houssein s’en prennent à ustadh Inzoudine Mohamed El-hadj Abou rukane, le jeune cadi de la région de Hambu. Ce jeune théologien comorien, s’interroge sur la gouvernance maladroite d’Azali et ses hommes, sur l’abandon de la religion aux Comores… Il s’interroge sur l’ironie suicidaire quant aux mesures prises contre le covid-19 aux Comores et qui ne s’appliquent que par fermer les mosquées uniquement. La voie légale d’Inzoudine Mohamed El-hadj, Abou rukane, confronte les missionnaires destructeurs des mœurs et des valeurs comoriens. Les milices de ces anti-islam aux Comores l’ont arrêté, tôt le matin de ce mercredi 07/04/2021 devant chez lui. Celui qui refuse appeler Azali imam risque une grande sanction après avoir montré que le pouvoir est incapable d’éduquer. Abou Rakane, ne conteste pas le titre de président, de colonel…, mais Azali imam, il qualifie cela d’une hérésie.

Said Yassine Said Ahmed

COMORESplus

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