COMORES ; LE POUVOIR « FITNOCRATIQUE » A DEROULE LE TAPIS ROUGE AUX LESBIENNES ET AUX GAYS COMORIENS.

A chaque fois qu’Assoumani est au pouvoir, il mutile les Comores des organes. Cet homme qui veut diriger l’Union africaine, ce centre d’hébergement des préfets des occidentaux en Afrique est tous sauf un homme juste. Et ce qui le dérange de plus, c’est bien la culture et la religion, donc quelques composants des valeurs comoriennes.  Lors d’Azali-1, de 1999 à 2006, le pays a été scandalisé par les tournages de films pornographiques. Des nombreuses familles ont été abattues par cet évènement mêlant les leurs.  Sans contrôle formel, sans éducation ni référence, sans estime à la religion musulmane et la culture comorienne… les valeurs les plus primitifs des Comores sont au rabais. Donc une société sans fois ni loi. Sans doute avec le contrat signé avec Satan bel homme, Assoumani Azali et ses auxiliaires, sont prêts à tous pour se faire fortune. En juillet 2022, avec des jeunes filles comoriennes parmi lesquelles une mineure, l’enseignant à l’alliance française de Moheli Comores Mr Pascal Soret, filmait une scène pornographiques dont il serait parmi les acteurs. Aussi des images de cette scène circulaient sur les réseaux sociaux. Et l’Etat qui devrait s’impliquer dans cette affaire, se désengage. Aucune déclaration du pouvoir, ni du muftora, ni de cadis, ni même des chefs des villages n’est faite. Donc tous sous la pressions de leur chef Assoumani, maître de la destruction.  

« Les méfaits du pacte…»

Comme il n’est secret pour personne, Assoumani Azali est toujours à la tête d’un régime animé des effets pervers, de prosaïsme, de vices. Et cette fois-ci, le LGBT tant défendu par les jeunes profanateurs dont les idées vont de paire avec celles d’Assoumani Azali, trace sa place aux îles Comores. Parmi ce qu’Assoumani Azali donne en échange pour une longévité de son pouvoir. Les effets du pacte signé entre Assoumani Azali et Satan bel homme, n’arrêteront jamais de surprendre tant que le régime « fitnocratique » se maintient toujours aux Comores. Il y a presque une semaine, le 12 janvier 2023, l’année 2023 du pouvoir est commencée par l’exécution d’un ordre donné. Un match de football opposant des jeunes filles, selon certains dires, lesbiennes à une équipe d’homosexuels, s’est produit à Mirontsy Anjouan Comores. La descente aux enfers des Comores, pays autrefois prospère est dans sa continuité. Et cet évènement amochant le paysage socioculturel, laisse les autorités concernées, indifférentes. Le muftorat, les cadis, les ulémas, les hommes à l’écharpe, soi-disant notables… tous se résignent et se soumettent aux ordres de leur Maître. Tant que les billets de banque franchissent les poches, le silence est toujours massif.

« complicité et responsabilité partagées »

Enfin, la complicité du ministre de la jeunesse et des sports d’Assoumani Azali ainsi que de son ministère, est inéluctable. La Fédération Comorienne de Football, a aussi sa part de responsabilité. Où sont les journalistes francs-tireurs du pouvoir et ceux constitués en secte sur le sol comorien au sujet de ce climat dommageable ? Cette mission confiée à Assoumani Azali et ses auxiliaires par son tuteur, est celle de détruire les Comores dans son fond religieux et culturel. Comme le don intégral du pétrole à ce dernier, anéantir les valeurs comoriennes, est aussi un service commandé. Donc installer ce climat nocif, rempli des effets pervers, « laisser se produire les films à caractère pornographiques, donner liberté à des homosexuels et des lesbiennes de s’échanger d’activités en plein air… », font partie des missions confiées à Assoumani Azali. Et lui, il charge le sale boulot à ses ministres, ses députés et tout son pouvoir. Au moment où ils ne sont pas capables de construire les Comores, détruire ce pays, leur est tâche facile. 

Said Yassine Said Ahmed

COMORESplus

 

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