CAPTUREE PAR LE POUVOIR DES FITNOCRATES, CHAMSIA MOUSTOIFA, EST UNE VICTIME DANS L’ABSTRUS.

Elle s’appelle Chamsia Moustoifa, originaire de Wellah Itsandra. Depuis le 20 janvier 2024, elle est capturée par les milices d’Assoumani Azali et famille. Le doute qu’elle ne soit pas en vie s’invite. Surtout qu’on parle moins d’elle, surtout qu’elle n’est pas une femme ni des réseaux ni des vagues politiques. La crainte est énorme car, ce régime qui a signé un pacte avec Satan, est garni des vicieux, des pervers, des mécréants. Il est capable de tous, donc de lui faire subir des actes libidineux.

Comment ni juge, ni procureur comme ils le font… n’ont jamais parlé de cette femme soi-disant en garde à vue depuis un mois ? Personne n’entend pas de son nom par procureur la bouche du procureur Djounaid Mohamed leur Roland Freisler, c’est-à-dire leur procureur Nazi comorien. Qu’est-ce qui peut empêcher les tortionnaires de ce régime fitnocratique de la torturer, de l’utiliser pour leurs effets pervers, puis la tuer ? Ces Khmers rouges comoriens du Roi Pol-pot (Azali II), qui instaurent un climat de terreur aux Comores, sont dépourvus de la notion humaine. Plus de 400 jeunes et moins jeunes essuient dans les Geôles comoriens avec des supplices quotidiens et passent sous le silence du pouvoir. Des détenus qui dorment et qui se réveillent avec des tortures inimaginables dans les sinistres cachots. En tout cas, comme ces prisons ont servi des lieus de fin de vie de plusieurs jeunes comoriens pour le pouvoir, l’espoir de voir Chamsia Moustoifa vivante ou en état de santé normal, n’est pas sous les murs comoriens. On prie et on espère la bonne surprise. Déjà le fait d’éclipser carrément son nom et sa situation du quotidien des comoriens, n’est pas bon signe. Tout passe à la Bobosha.

« les fitnocrates copie des khmers rouges »

Il ne faut pas attendre que le pouvoir annonce la mort, ou la cavale de cette femme,  montée en toutes pièces pour qu’on agisse et se mettre à évoquer son nom. Le pouvoir c’est le peuple. Si le régime et sa guillotine enregistre le silence du peuple, ils passeront en bourreau afin d’exécuter leurs victimes pour leurs sacrifices humains. Ils testent d’abord. Chamsia Moustoifa, ne doit pas être oubliée. Comme tant d’autres ayant bénéficié le soutien du peuple même si celui-ci est moins puissant face aux kalachnikovs, au cachot et au venin… produit du régime en place.

Le pouvoir fitnocratique aux Comores est sans doute typique au régime de Pol Pot et ses Khmers rouges. Mais la différence est qu’aux Comores, il y a quelques apparences d’un pouvoir civil mais en vérité c’est un pouvoir militaire de père en fils. Comme les Khmers rouges ont fermé les écoles, les fitnocrates paralysent l’enseignement et mettent en péril l’enseignement public. Comme les Khmers rouges, les fitnocrates instaurent la famine et provoquent les épidémies. Toujours sur l’ornière des Khmers rouges, les opposants, les intellectuels, les jeunes, les indociles… subissent des arrestations arbitraires, des emprisonnements et des tortures et les exécutions sommaires. Le cas de Fayçal, Moutu, Salim, Bapalé et tant d’autres comme pas mal des prisonniers de droit commun témoigne. On peut parier qu’Assoumani Azali n’a lu aucun livre dans sa vie à part ceux des plans et des gouvernances de Pol Pot et du régime Nazi. Quelques indices comme font les Khmers rouges, ils soupçonnent tout le monde, de complot, d’assassinat alors que ce sont eux qui tuent et entreprennent la théérie du complot. Pareil que le pouvoir fitnocratique d’Assoumani Azali et dynastie.

« Et les Ulémas du pouvoir ? »

Parmi auxquels, on demande le sort de Chamsia Moustoifa, le Dar-al-Iftah. Ce bloc des enturbannés sous les pieds du Pol pot comorien, ont des comptes à rendre au peuple quant à la fitna semée par leur chef. Ce muftorat a une grande part de responsabilité quant aux massacres perpétrés par le régime fitnocratique, son Pol pot et dynastie, et ses Khmers rouges. Chamsia Moustoifa ne doit pas servir de sacrifice humain ni de chose de plaisir des arsouilles sans foi ni loi au pouvoir.

Said Yassine Said Ahmed

COMORESplus

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