COMORES : INONDATION, CHOLERA ET INVESTITURE, TROIS CALAMITES EN MEME TEMPS

Confrontées à trois calamités en même temps,  les Comores dégagent des symptômes terrifiants. Sinon, bien qu’elles soient abattues, ces îles sont debout pour franchir le cap… digne, c’est-à-dire, celui qui n’est pas tracé par le tyran Assoumani Azali et son régime. Trois calamités, dont le cataclysme puissant des eaux du ciel et de la rivière, le Choléra qui ne cesse de tuer avec une vitesse démesurée et le 26 mai date à laquelle le satanisme s’inscrit dans le prolongement de mandat pour les multiples effets pervers. Comme les crimes et les indélicatesses.

« L' eau gobe des localités »

Sous les eaux, le Pays se trouvait, il y a trois semaines. Quelques temps plutôt, certaines des localités précédemment détruites par cette catastrophe naturelle, sont encore une fois atteintes par cette dure épreuve, il y a depuis trois jours. Nyumadzaha dans le Bambao, Mitsudje, Djumwa-shongo, Nkomioni et Bangwa dans le Hambu… sont les plus touchées. Plusieurs maisons sont rendues inexistantes, des économies anéanties, des vies menacées... Donc des sans abris, des désespérés et des dépités vivent quotidiennement infortunés. Mais dans tout cela, le pouvoir n’a qu’une seule occupation en ce moment : les victimes sont de Dieu et le 26 mai c’est pour le pouvoir fitnocratique et son président fitnocrate.  Quand Oussouf Mmadi Belou, agit en mécréant avec cette phrase : « les vidéos montrant des inondations sont des vidéos montages… », Il ignore l’œuvre de Dieu.

« Cholera, une épidémie qui ravage »

En parallèle de cette calamité, le choléra, qui ne laisse pas la population comorienne en Paix. Plusieurs cas dont certains débouchent à des trépas ne cessent d’augmenter malgré le déni de cette épidémie par les griots du régime tyrannique aux Comores. Comme c’est un régime argentophobe, il attend que ce 26 mai passer pour admettre son existence aux Comores afin de prétendre recevoir de l’aide des pays étrangers. Des malades abritent le sol sans matelas ni support. Et sans moyens, les médecins abattus, n’arrivent pas à travailler. Donc  la maladie perdure et se propage d’une manière effroyable. Mais dans tout ca, l’investiture est la priorité. Les eaux et l’épidémie, sont les cadets de soucis. Ou c’est parce que c’est l’ile de Ndzuani est l’ile la plus détestée par Assoumani Azali.

« Le 26 mai 2024, triste date historique… aux Comores »

Avec l’argent des contribuables et les multiples dettes dans lesquelles, les Comores entrent… le pouvoir prépare la cérémonie, dont l’investiture de son président, élu avec des irrégularités  et des fraudes. Ces fitnocrates, adeptes du satanisme, se satisfont de la souffrance de la population comorienne. Plus de  quatre milliards de fc, c’est bien le fonds loué pour la réalisation de leur cérémonie dans un pays qui ne produit rien et qui vit avec des dettes et des aides. Des délégations venant des certains pays du continent africain, notamment sont attendues à Moroni pour cette occasion. Comme « ce sont les oiseaux de mêmes plûmes »,  qui volent ensemble, ils ne peuvent honorer cette cérémonie de la honte que des tyrans conformes à Assoumani Azali. Donc des tyrans vont fouler le sol comorien pour cette investiture indigne… Ce pouvoir rend fou. La photo du procureur de la République de Moroni Mohamed Djounaid… et le président du tribunal du pouvoir Ali Amani, prise à l’Aéroport Prince Said Ibrahim, dont les postes doivent s’habiller de discrétion et d’une neutralité, … attire vers le bas. Le geste de ces hommes de toge nous prouve le mental.  

Said Yassine Said Ahmed

COMORESplus

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