INADMISSIBLES, SONT LES PROPOS DE YOUSSOUF A. IBOUROI DU RCM-13, ENVERS LE JOURNALISTE ELIE DINE JOUMA. »
28 mai 2024/image%2F1385848%2F20240528%2Fob_7fb7b4_436683780-974916687463840-387185342676.jpg)
INADMISSIBLES, SONT LES PROPOS DE YOUSSOUF A. IBOUROI DU RCM-13, ENVERS LE JOURNALISTE ELIE DINE JOUMA. »
On est entre scandale et erreur. Mais l’idéal est d’analyser l’homme et son parcours. Youssouf Ali Ibrouroi, est un journaliste comorien. On ne dira pas autrement car « eakayao nde yarehwao ». C’est ce que ma mère m’a dit. Ou bien « mndru tsotrusa isho ya honka ». On n’entre pas dans une biographie de qui que ce soit. Seulement on doit parler un peu du journalisme et des des journalistes. Le journaliste est un arbre. Un arbre est un arbre, mais l’utilité et l’importance ne s’égalent pas. « Mvundze », c’est un arbre, comme « mdri mungu » en est autre. Donc ne confondons pas mvundze et mdri mzungu et pourtant ces deux sont des arbres. Passons.
« Et s’il se moque de soi-même »
Le pire n’est pas les dirigeants du pays seulement. De l’autre coté, il y a aussi de l’autre. Quand Youssouf Ali Ibouroi, traitait Elie Dine Djouma d’incompétent, de nul et de quelqu’un qui ne maîtrise même pas le français oral dans son métier, c’est l’hôpital qui se fout de la charité. Ou bien l’on peut prendre cela pour se moquer de soi-même ? Même si l’on n’est pas amateur de football, mais les journalistes sportifs notamment dans le domaine footballistique, ne nous échappent pas d’esprit. Qui des Comores, amoureux du football comorien, et qui s’y intéresse, ne connait pas le journaliste Elie dine Djouma avec la maitrise de son métier de journaliste en particulier dans le milieu de football ? Pour le chef de RMC-13, Youssouf Ali Ibouroi, si ce n’est pas de la mauvaise foi, c’est de l’inculture. En tout cas être inculte n’est pas synonyme d’abruti. Sinon, suivant ses propos, et la manière virulente dont ils se dégageaient, la haine se laissait présager. Est-il conscient de cette maladresse incommensurable qu’il vient de commettre ? Le journalisme, c’est le respect du métier, des collègues et des récepteurs avant tout. Oui, il y a des journalistes autodidactes mais, ils sont appréciés et confiés à part de leur attention et leur respect vis-à-vis du monde qu’il les entoure.
« L’homme Elie, le géant du journalisme sportif »
Depuis plus de deux décennies de sa carrière, Elie Dine Djouma a commis peut être des erreurs journalistiques, mais sa maitrise du métier est incontestable. Oui on peut travailler sans moyens, sans outils et parfaire ses tâches. De même on peut tout avoir, et amocher ses tâches. Elie dine, non seulement qu’il a la maitrise du métier, mais aussi sa culture dans le domaine est avérée. On doit mettre sa taille de coté, combien il mesure, combien il pèse… mais le nommer un Géant du journalisme sportif… est idéal. Se fixer, persévérer, se spécialiser, enfin maitre du domaine. Je suis déçu et non étonné de l’homme, Youssouf Ali Ibouroi. A nos frères et sœurs journalistes comoriens, se cultiver pour ce métier c’est aussi connaitre ses pratiquants. Se cultiver est vital dans ce metier noble. Sinon comment un journaliste, qui a même diriger la station de télévision nationale, ne sait pas qu’une conférence de presse peut se dérouler à distance ? Et selon Youssouf Ali Ibouroi, Elie est compétant car avec l’entraineur des Cœlacanthe il a organisé une conférence de presse en visio conférence pour dévoiler les listes des joueurs. D’abord on doit savoir que La presse est avant tout un métier de proximité. « Dès lors, pour répondre aux nouveaux enjeux de distanciation, de réduction des déplacements et de temps, la visioconférence s’est rapidement imposée comme le moyen de pérenniser ces relations humaines privilégiées ». Comme c’était il y trois ans à cause du covid, maintenant c’est à cause du temps. Passons.
« Mépris ou ignorer son travail » ?
Enfin, le ton et la méthode utilisés par Youssouf Ali Ibouroi pour déprécier son « confrère » Elie dine Djouma, sont dépourvus et de la connaissance du métier et du professionnalisme. Sans doute la déontologie soit elle prend congé de lui, soit elle n’a jamais existé dans sa personne. Des propos couverts d’une impertinence sans souffrance, aucune. Une arrogance finie… et même une insuffisance totale quant au métier laisse dessiner. « La fédération avait une femme qui était à Paris et qui était intelligente et polyglotte, elle l’a remerciée. Elle a recruté un nouveau qui n’a ni l’expérience ni la capacité… ce qu’il sait c’est écrire. Et même parler le français, il a du mal. Et cela rajoute des problèmes. Ce nouveau est nul comme l’ORTC… » Disait Youssouf Ali Ibouroi. Mais quel mépris ? Suivant les propos pleins de salissures, dénigrants, incohérents, et en manque de constance tombant du buccale de cet homme… ancien Directeur de l’ORTC sous Ahmed Abdallah Sambi, propos visant son confrère le journaliste sportif Elie dine Djouma, le constat est fait. C’est la peur du prochain… Donc la peur d’un produit… Elie dine Djouma, un homme du métier. Combien de couvertures de matchs, des articles sportifs… parlant des évènements, des informations, des analyses… qui se réalisent avec magicienne par le journaliste Elie dine Djouma. Nombreux vont témoigner cette dette.
Said Yassine Said Ahmed
COMORESplus