OUBLIER Dr ACHMET, C’EST UN CRIME QUI SE RAJOUTE A CELUI QUE LE POUVOIR COMMET CONTRE LUI.

Il faut rester curieux en permanence sur sentiment de cruauté d’Assoumani Azali et son équipe. Colonel Azali, un grand profanateur et dissimulateur à la fois. Regardant les cadavres et les vampires politiques avec lesquels il s'accroche, cet homme aigri en obstination, sera prêt à tuer tout le monde, surtout ceux qui brillent comme Dr Achmet. Un jeune qui dérange et lui et son équipe. Depuis le 9 janvier 2024, Dr Achmet Said Mohamed, président du mouvement Houry est arrêté par le pouvoir tyrannique en place aux Comores cinq jours avant la tenue des présidentielles malencontreuses. Accusé de mettre «en péril la sûreté de l'État», ce jeune professeur des Universités et homme politique comorien est toujours en détention. Donc il séjourne toujours à LaMoroni2 alias Dawedju. Son accusation, est un fait qui a été affirmé par le procureur de la République du régime fitnocratique Mohamed Djounaid.

« Il faut en vouloir les politiques et les ulémas comoriens »

Il est temps d’en vouloir les politiques comoriens, qu’ils soient du pouvoir ou de l’opposition, au total qui assistent à l’assassinat à petit feu de ce jeune par Assoumani Azali et son équipe pour le boulevard à Nour El-Fatihou. Achmet avec un début de carrière politique dont l’avenir laisse augurer. Tout comme les ulemas politiques du régime, qui sèment la fitnat dans le Umma comorien. Sans doute, la mauvaise foi de ces politiques et ces ulémas fait partie des échafauds que le président du mouvement Houry Dr Achmet subit. Soucieux exclusivement des intérêts démagogiques et personnels, ces politiques et religieux sont dépourvus du sens humain. Le régime fitnocratique, pactisé avec Satan avec les sacrifices humains, veut sacrifier Dr Achmet souffrant depuis plusieurs semaines, pour arriver au chiffre exact. Sachions très bien que seuls le sang et les cadavres qui font vivre ce régime des adeptes des vaudous instaurant un climat de terreur sur le sol comorien.

« Ils veulent le tuer »

Éreinté dans le sinistre cachot où il est englouti Achmet ne doit pas être le Igar Lednik comorien. Cet homme politique biélorusse ancien membre du Parti social-démocrate, militant et journaliste est mort en détention le 20 février 2024. Achmet ne doit pas être non plus le Moshood Abiola comorien. Cet homme politique du Nigeria est aussi mort en prison le 7 juillet 1998. Comme Dr Achmet, ces deux personnalités politiques étaient aussi populaires et importants aux yeux des populations de leurs pays, dont la popularité mettait en difficulté les présidents qui les ont tués en prison. Tous les composants du régime fitnocrates aux Comores, derrière Mohamed Djounaid procureur du pouvoir en place, sont impliqués quant à la mort qu’ils veulent au jeune Achmet, souffrant avec des symptômes terrifiants dans le sinistre cachot… et dont les soins à l’hôpital lui sont refusés. En tout cas le soleil de l’oppresseur se couchera et celui de l’opprimé se lèvera.

Said Yassine Said Ahmed

COMORESplus

 

 

Retour à l'accueil