COLONEL AZALI TOUJOURS EN QUÊTE D’UNE LEGITIMITE.

Après sa soi-disant investiture, le tyran Assoumani Azali est désespéré au point de taper toutes les portes enfin de trouver des candidats au concourt pour l’accompagner vers le naufrage. Les embarquer vers les prochaines mascarades électorales… et il faut les intégrer dans son prochain gouvernement. Ce tracas est venu depuis que plusieurs chancelleries et plusieurs nations lui ont fait comprendre que son élection est loin de refléter à la réalité. Donc archi entachée des fraudes et des irrégularités. Les États Unis lui ont intimé de favoriser toutes les conditions d'apaisement qui permettront à l'organisation des élections législatives libres et transparentes. Cette grande puissance, a aussi pointé du doigt le niveau de la corruption qui gangrène le pays depuis des lustres mais qui  devient sans égale depuis il y a huit ans.

A cet effet, des émissaires envoyés par le colonel Azali auprès de l'opposition ont regagné en retour Beit Salam bredouille. Un vent qui promet car… pour la première fois l'opposition comorienne tient tête à un président qui est prêt à les attribuer des postes ministériels. Manière de les amadouer, les attirer… afin de pouvoir se faire légitimer de partout où il se trouve. Qu’il soit de l’intérieur ou de l’extérieur. Une démarche qui déplaise ceux qui charment son pouvoir, donc la CRC et Cie. Donc cette détermination fait vaciller les plans du régime. Et au sein de ce pouvoir, une question domine.

Alors au sein de ce pouvoir, se demande ceci : « Pourquoi l'opposition est aussi déterminée. » Dans les rangs de cinq candidats un vent d'optimisme souffle d’une façon promettant. Un des candidats nous a fait les confidences suivantes, « Tout est prêt. Et la communauté internationale est bien informée et connaît très bien la vérité et les comoriens sont bien préparés à toute éventualité ». Notre interlocuteur de poursuivre. Redi-il :« notre piège a bien fonctionné, nous avons mis le système à nue avec les multiples preuves de la tricherie et surtout l'absence de la population à son investiture devant ses invités ».

Assoumani Maoulidi

COMORESplus

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