A PARIS, GOUVERNEUR IBRAHIMA MZE, VOULAIT FAIRE DE LA BOXE SANS GANS.

Le gouverneur du régime en place aux Comores Ibrahim Mzé de Ngazidja, se comportait comme un homme simple alors qu’il ne l’est pas. Comme un homme modeste, et pourtant, il ne l’est pas, le gouverneur du pouvoir à Ngazidja, est parti se détendre… une nuit de samedi. L’histoire s’est déclenchée devant le guichet. Les gens commencent à acheter les billets pour le concert de Salim Ali Amir tenu le Samedi 16 Novembre 2024 à Bobigny. Les gens commencent de venir… pour peupler la salle CANAL 93 de BOBIGNY. Comme Zaki Soifoine avait oublié son portefeuille, dans lequel son argent pour le billet, le Gouverneur Ibrahim Mzé, avait oublié ses gans de boxe pour le combat du soir. Sinon le premier demandait s’il pouvait payer par carte… Après réponse positive, la poche vomissait la carte bancaire et voulant levant sa tête Zaki a aperçu le gouverneur d’Assoumani Azali. Bien habillé, costume marron taillé sur mesure, serré surtout au niveau des épaules.

« Un gouverneur déterminé pour faire de la boxe »

Le gouverneur de la fitnocratie, se place devant une porte et serre les mains des passants… Parmi les milliers souffrants du système du régime en place aux Comores, Zaki Soifoine, un des militants et actifs des réseaux comme défenseur des Droits humains, lançait ces verbes : « Oh lààà, les enfants du système sont là ». Paroles prononcées et le récepteur en face. Tout de suite I. Mze s’est agrippé et dit : « …Et d’ailleurs, tu es qui toi … ? ». :« un comorien qui te demande, pourquoi dilapider l’argent de l’Etat de la sorte gaspillé dans des voyages, des concerts… alors qu’il n’y a pas longtemps tu étais ici en France avec l’Argent des contribuables. » Soudain la nervosité engendre les insultes et la perte du sang froid. Cinq agents de sécurité ont tenu Ibrahim Mzé avec leurs forces, mais comme un sportif de haut niveau, il bouscule ces agents. Il s’gite dans tous les sens en voulant se battre avec Zaki. Malgré les cinq agents de sécurités dont quatre du centre de concert et un qui est le sien, agent de GHSP mis à disposition par Azali pour sa sécurité, il ne se calmait pas. Sorti de la salle, dehors Zaki crépite sa colère légitime. Comme un enfant du quartier, le gouverneur azalien, saute de gauche à droite et sans bouche close, il dit : « Tu as dit quoi toi, d’ailleurs tu es d’où… ? NTM », il s’adresse Zaki Soifoine qui ne bouge pas de là où il s’est positionné.

« Toujours des autorités comoriennes en scandale sur Paris »

Cependant, avec retard, il s’est rappelé qu’en France tout se fait avec la loi. Toujours dans ses scènes, Ibrahima Mze, veut intimider en disant qu’il va appeler la police. Dans ses déambulations cette fois-ci, il gesticule avec force et même sans gants de boxe, il veut un ring pour la boxe avec Zaki Soifoine. Mais pourquoi Assoumani Azali envoie toujours des sportifs et ou des artistes en missions de son pouvoir ? Tout est commencé en novembre 2019, l’Athlète Fouad Goulam, commissaire au plan, a fait des marathons sur les pavés de la Rue Mirbeau, 75116 Paris. En Mai 2021, c’était le tour du conseiller d’Azali, Said Ali Said Ahmed… un vrai pâtissier dans l’Aéroport de Roissy plein de farine sur son visage, donc un conseiller transformé en boulanger. Le gouverneur, a eu du mal à calmer sa colère… jusqu’au lendemain, il voulait toujours se battre avec Zaki soifoine, même s’il ne retient pas son visage.

Said Yassine Said Ahmed

COMORESplus

 

 

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