ASSOUMANI AZALI, SON COMPLEXE, SA HAINE… ET SON RÉGIME DES ARSOUILLES

Comme c’est un homme qui ne supporte pas le bonheur des autres, qui ne supporte pas les hommes, les femmes, les enfants et les milieux valeureux, c’est un homme inéluctablement sans scrupule.  Colonel Azali n’a jamais été si bien que s’il voit une notoriété entraine de souiller, et sur le chemin de la dépréciation. Cet homme de rancune tue à petit feu l’avenir et rend tout un pays est cramé. Au départ, il a la peau d’un ami. Ilo est conciliant et homme de bonne foi. Tout en apparence, bien sûr. Un homme de paraitre et non d’être. Il affiche ce qu’il n’est pas. Les échecs, les souffrances, …les chutes des autres lui remplissent de joie. C’est d’ailleurs pour cela, que les ourdis lui sont une manie. Avec son arrogance, il aime aussi humilier les hommes de valeur et de science.

« Ceux qui lui font plaisir »

Personne ne peut imaginer la joie qui se remplit dans le fond du cœur de cet homme quotidiennement aigri, quand il voit Nassuf Ahmed Abdallah courir derrière lui pour un poste minable ou pour devenir Maire de sa commune. Et le plaisir qu’il tire d’avoir rendu désolant aux yeux du monde Mr Said Mohamed Saggaf, un homme qui faisait partie des dignitaires du pays… depuis l’histoire des assises CRCiennes. Et l’éclatement d’avoir cramé les villes vertueuses comme Ikoni, Moroni, Mitsamihuli, Fumbuni, Mitsudje, Domoni, Mutsumudu et autres. Les souffrances d’Ahmed Abdallah Sambi, de Salami, de Dr Achmet Said Mohamed et consorts lui rendent quotidiennement heureux et fier de lui-même. Tout comme les assassinats de Hamada Gazon, Fayçal Abdoussalam, Nasserdine Moutu, Salim Nassor, Hakim Said Bapalé… et cointéressés.

« Colonel Azali, l’artisan de la calamité »       

L’homme qui n’est jamais affecté par un malheur qui entame un humain et un homme qui a une inadvertance à l’égard de son peuple. Toujours dans ses fêtes, ses danses, ses cérémonies budgétivores dans un pays qui ne vit que par les dettes inachevées et jamais remboursées. Baigner dans l’opulence avec toute sa famille et ses complices… donc il ne s’intéresse que de l’argent et du pouvoir. Pour que cela lui reste plus longtemps, pour ne pas dire éternels, il n’hésite pas à tuer. Le pays est détruit, la criminalité abonde, la pédophilie, la prostitution, les cambriolages, la dégradation des mœurs… se dessinent sous ses yeux mais du moment qui l’est dans ce pouvoir, du moment que sa famille mange à sa faim, du moment qu’il a des esclaves enchainés et qui mangent avec la langue et qui aboient pour ses louanges, du moment que se trouvant en duplexe, il arrive à cracher dessus ceux qui sont au Rez-de-chaussée, donc son peuple… il s’en tape les reins. Comportement que son fils, Demi-dieu n’attends pas son trépas pour hériter. Demi-dieu a hérité tous ceux qui sont de son père…

« Le socle du mal »

Après avoir fait une vue globale et profonde de comment il choisit ses collaborateurs et ceux qui « administrent » les Comores avec lui depuis 2016, il faut être un con fini pour ne pas comprendre qu’Assoumani Azali est là pour détruire un pays, un Etat qui s’appelle Comores. Des ministres, des conseillers, des députés, des maires, des directeurs des sociétés… il place soit des incompétents ou des butors, soit des antipeuple ou des canailles. Ensevelissement des mœurs et des valeurs, fuite de la religion musulmane, pudeur attentée… Assoumani Azali par son régime démoniaque est contre ce qui est déjà là depuis des lustres. Il crée un climat nocif composé des vengeances, de règlements de compte et des éventuelles pénitences. Ce qu’il faut éviter dans le temps, c’est de ne pas tomber dans le piège d’une guerre de tous contre tous car la notion d’un pays, il ne l’a pas. Fabriquer des gueux dans une misère et des déshérités dans le malheur c’est bien son but que les Comores soient un pays apocalyptique.

Said Yassine Said Ahmed

COMORESplus

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