COMORES : LE MINISTRE BACAR MVOULANA, UN BOUCLIER DES GUÊPES, FACE A DES ABEILLES PRODUCTRICES.

L’idéal est de s’interroger. Alors quand-est-ce que le ministre de l’éducation et de l’enseignement du colonel Azali, Bacar Mvoulana, va mettre fin à son agressivité envers ses frères et sœurs comoriens de l’extérieur grâce auxquels, son président n’enterre pas les os de notre pays qu’il a anéanti ? Sinon, Assoumani Azali a eu raison de reconduire un ministre qui lui ressemble en matière de mépris aux œuvres et à l’apport de ceux qui font d’eux ce qu’ils sont aujourd’hui. C’est-à-dire les abeilles porteuses du Miel pour les Comores depuis l’étranger. Même si la secte l’escamote pour s’engraisser et avoir de l’énergie afin d’enfoncer les Comores. Bacar Mvoulana, ministre du pouvoir fitnocratique d’Assoumani Azali récidive quant au déni d’apport des comoriens de l’extérieur, notamment la classe dans laquelle il pourrait se trouver. L’ingratitude au pinacle. Cela n’est pas étonnant. Donc c’est normal car le ministre Mvoulana ne se documente pas, il ne lit pas sur son entourage même si nombreux sont infertiles… La preuve est que ce sont les abeilles productrices qui se trouvent hors sol, qui lui apprennent ce pays. Sinon, cette mission qui lui semble confiée par Nour El’fathou, se réalise même si sans avantage à la nation. A force de vouloir se faire l’homme le plus médiatisé du régime en place aux Comores, Bacar Mvoulana, se rend en bouclier de ce régime. Avant de reprendre quelques extraits des digressions de ce ministre, on préfère dire comme son idole, l’élève de Louis de Funès, « on ne cède pas aux provocations ». Sans doute, nous sommes des abeilles comoriennes hors sol comorien, et qui produisons du Miel pour les Comores. Du Miel détourné par ces guêpes en clan au pouvoir et Miel avec lequel, ils s’engraissent. Rappel : l’abeille a une durée de 40 jours et elle produit une cuillère de Miel. Et une cuillère de Miel, guérit plusieurs dizaines de personnes. Aux Comores, les guêpes, ont seize ans de pouvoir, et ne font que piquer mortellement la population et ses biens. Des guêpes qui troublent la tranquillité d’un peuple autrefois paisible. Comme les fitnocrates, par la plume de leur bouclier, récidivent, il est inutile de leur établir ou leur citer les œuvres… qui n’a pas de cesse de se réaliser aux Comores, œuvres des abeilles productrices. Passons.

« Par l’éducation de nos enfants, nous sommes tous concernés »

Le ministre a dit :« Il est toujours fascinant de voir ceux qui ont fui leur pays pour des raisons purement personnelles souvent financières vouloir aujourd’hui nous faire la leçon depuis leur confort d’exil. », Comme susmentionné, ce Ministre ignore l’Histoire de son pays. Mieux-vaut pas ces abeilles loin du pays que les guêpes assistées qui dégradent notre partie ; Comores ? Aussi une hallucination :« … Parler de l’éducation comme si vous étiez concerné, alors que vous l’avez abandonnée » … la consternation est là. Comment peut-on prétendre être ministre de l’Éducation et de l’enseignement et ignorer les sens « d’être concerné et d’être impliqué ? ». Que Mr le ministre sache que tous les comoriens sont concernés par l’éducation et l’enseignement de nos enfants. Même vous, qui par la rénovation du lycée de Moroni, avez placé la dignité sous les bottes de celle qui l’a construit, il y a plus de soixante ans, vous êtes concernés. Le ministre a dit : « … Ici, sur le terrain, nous affrontons les réalités avec responsabilité, pendant que vous alimentez les réseaux avec des critiques faciles et souvent déconnectées. » Sans doute nous alimentons les réseaux par plusieurs effets et transferts de compétences. Nous alimentons les réseaux contre le pouvoir fitnocratique et stérile dans lequel tu es ministre. Nous alimentons les réseaux pour vous prouver cette réalité que vous faites semblant de confronter alors que c’est bien vous qui avez endommagé extrêmement ce pays.  C’est digne, n’est-ce pas ? Et vous, qui alimentez les impertinents, les incontrôlés, les voyous, les fadas, les alcoolos… pour déprécier à votre place, le camp adverse ? Passons.

« L’ingratitude, devient une marque déposée »

Et si l’on répond à ceci ? « La gestion d’un pays ne se fait pas à coups de publications rageuses, mais par un travail constant, sur le terrain, pour et avec le peuple. » Moi, c’est ok. Je te dis que la gestion d’un pays ne doit pas se faire en ramenant la population au recoin, en l’affamant, en la plaçant en prison… et en semant la fitna dans la Umma. Le ministre Bacar Mvoulana suit les pas de son GOUROU, Houmed Msaidié. Comme celui-ci est un récidiviste en matière d’   effronterie, Bacar Mvoulana est un bon élève. N’est-ce pas Houmedi Msaidié qui avait qualifié les femmes de ménage comoriennes de France, d’ayant mal être ? Ces femmes grâce auxquelles, il est payé et véhiculé. Alors Bacar Mvoulana suit le chemin tracé par son maître en qualifiant ses compatriotes des improductifs. Seulement que le Ministre se rappelle que l’abeille est plus importante que la guêpe. Ces guêpes qui envahissent partout et même les mosquées à chaque vendredi… ne sont que nuisibles. Passons.

« Les abeilles sont parties pour le butins nourrissant… »

Le ministre a dit :« Vous avez choisi de partir, librement, pour chercher ailleurs des opportunités, et c’est votre droit. Mais ce que vous ne pouvez pas faire, c’est revenir par écran… » L’expression justes est, « vous ne pouvez pas faire, c’est revenir en cran car la tyrannie vous attend. » Quant au choix de rester en France… cela s’appelle exil forcé. Lui-même, Mr Bacar Mvoulana le sait que l’Amour à notre pays, fait que pour que les fitnocrates laissent nos familles tranquilles, il faut les nourrir.

Enfin, selon le dernier rapport de la Banque centrale des Comores, les transferts d’argent en provenance de l’étranger ont atteint 152,3 milliards de francs comoriens, soit 21% du PIB national. C’est cette année 2025. Quand tu as parlé « … donner des leçons de patriotisme à ceux qui sont restés, qui travaillent, qui luttent et qui assument ». La lutte, c’est de lutter contre la tyrannie, alors les héros, c’est bien nous et non les Beni oui oui. Et ce narcissisme assassin. « En ce qui me concerne, j’ai été élevé ici, je me suis mis au service de l’éducation de ce pays en tant qu’enseignant, et aujourd’hui j’y consacre mon énergie comme ministre. Ce ne sont pas des mots, ce sont des actes. » Encore une fois, je m’interroge sur un ministre de l’éducation digne de ce nom. Quel est le sens d’une communauté d’un pays à l’Etranger ? N’a-t-on pas d’yeux qui puissent l’orienter vers les œuvres de ceux qu’il qualifie d’abeilles ?

Said Yassine Said Ahmed

COMORESplus

 

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