MINISTRE I. MOHAMED ABDOURAZAK, L’HOMME A LA MAIN DROITE TEMPORAIREMENT INTERDITE
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MINISTRE I. MOHAMED ABDOURAZAK, L’HOMME A LA MAIN DROITE TEMPORAIREMENT INTERDITE
Les Comores sont un pays à plus de 60% musulmans. Mais il dispose aussi de 99,99 % d’animistes. C’est un pays administré par des fitnocrates, parmi lesquels des ex-musulmans. « Ulémas, notables et politiques ». Ils opèrent des sacrifices humains, des scapulaires, des diffamations, des calomnies… et des médisances. Alors, l’actuel ministre des finances de cette secte au pouvoir en place aux Comores depuis neuf ans, doit des explications aux comoriens quant à un fait dont il est auteur. Certains diront que ce n’est rien, c’est un geste banal. Et pourtant, c’est un fait qui semble démoniaque, produit au vu d’un grand nombre des comoriens. Certes, il reste à le nommer, mais des nombreux comoriens ont remarqué cette faille, qui ne passait pas inaperçue. Nombreux sont ceux qui ont été apostrophés. L’histoire s’est passée à l’Aéroport Prince Said Ibrahim, lorsqu’Ibrahim Mohamed Abdourazak a quitté le tarmac le 1er Mai 2025, en provenance des USA. Il est s’avère que si on est conscience de sa déficience, mais on ne veut pas admettre, tout en voulant toujours continuer le chemin sans progrès, on risque de vendre tout même la foi et la dignité. C’est bien le cas du gouvernement de la secte.
« Ce sont les petites pluies qui gâtent les grands chemins »
Alors, lors de l’arrivée des Etats-Unis de ce Ministre des finances, une forte délégation de Mbadjini en garde à vous, s’implantait avec retenu de la respiration comme des pylônes sous les murs de l’Aéroport Prince Said Ibrahim. Cela était dans le but d’accueillir leur « Mirza Husein El’afandiyyi » qui vient du ciel. C’est-à-dire le nouveau prophète qui allait leur arriver. Mais, une scène a interpelé les hommes conscients, qui ne sous-estiment rien même les petites pluies. En tout cas ce sont les petites pluies qui gâtent les grands chemins. Abdourazak Ibrahim Mohamed, ministre des finances de la secte au pouvoir, a évité de serrer les mains de ses captivés et autres, par sa main droite. Et pourtant il n’est ni gaucher, ni s’est blessé à la main à la main droite. Jusqu’à quelques mètres de là, il a libéré sa main sacrée, donc commencé à serrer timidement les mains de ses captivés par la main droite…
« On dirait la main d’inspecteur Gadget »
Alors est-ce qu’Abdourazak, ce ministre, qui est l’un des intimes et complices du Secrétaire Général du Gouvernement de son père, et dont le président ne jure que par des gris-gris, a reçu des interdictions de la part de « son sorcier » ou du sorcier du pouvoir ? Interdiction d’utiliser sa main droite à la première foule qui l’accueille ? Il y a 99,99 % de chance que cela soit le cas. Au cas contraire, c’est impertinent. Et pourtant l’un des piliers de la politique, c’est la politesse et la proximité. Ce ministre de caprice du fils à Papa, doit des explications aux comoriens dont il détient le butin. Sans doute, les plus de 30 cabris et la vache à trois poiles ensevelis vivants il y a quelques années sous au bord de la mer d’une ville de Washili, les nombreux grigris enterrés dans chaque localité où Assoumani Azali et/ou son fils, font les prières de Gala dans les mosquées de vendredi… font machinalement des charmés.
Said Yassine Said Ahmed
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