C’EST AU DELA DE LA VOLONTE DU VICE-PRESIDENT… NE L’EN VOULONS PAS.
14 oct. 2011 Honteux ou affreux ? Nous devons tous savoir qu’aucun secret n’est à l’abri de personne aux Comores et surtout les sacrets d’Etat ou ceux qui se voient encaisser dans la machine gouvernementale. Les nominations, les trahisons, les revirements… les complots, les détournements que sais-je encore.
Certes, la plupart des nominations dans les sociétés d’Etat, ne se font que par camaraderie ou par propulsion de la notabilité. Cause de dysfonctionnement et même des faillites de ces sociétés. Des fois ceux-ci, c’est-à-dire les notables, qui sont source du malheur de notre pays, constituent la protection des malfaiteurs, car issus de telle ou telle région.
Alors, il est malheureux que dans un Etat de droit comme le notre, un ministre en charge de finances soit intimidé par le chef de l’état-major, jusqu’à ce qu’il retourne de ses décisions de nommer un directeur... à la tête d’une société d’Etat. Intimidé, apeuré le (vice-président) ministre des finances comorien, n’a pas pu nommer un des directeurs à la tête d’une des sociétés d’Etat comoriennes, de sa bonne grâce. Mais l’imposition du chef de l’état-major, est le grand poids. Tout de suite la roue a tourné autrement et voilà, le pouvoir du vice-président devient vain. Seul l’homme du choix du chef de l’état-major est nommé à la tête de la société… contre la décision du ministre tutelle du département...
Inza Maoulida
(COMORESplus)