Comment donc, le régime Sambi perpétue ses provocations, pour conduire le pays dans un trouble de tous genres ? Le président par intérim Ahmed Abdallah Sambi dont le mandat a pris fin le mois de mai dernier, précisément le 26, cherche à tout prix le moyen de freiner le déroulement des élections présidentielles, pour s’assurer de pagaille. Elections dont la tenue a lieu le mois de Novembre et décembre 2010. Commençait depuis, le mois de Mai 2010, un attentat contre le général Salimou Amiri a tourné court, le 13 juin 2010, Combo est tombé sous les bales des inconnus, le 3 Aout 2010, l'agent de police, Ahamada M'madi Boina connu sous le surnom de Comique a reçu des bales sur la tête à son domicile. Tous ceux là dans le but de finir à une fin bien taillée, dont un trouble, qui conduit à une guerre civile ou un total désordre laissant le pays ingouvernable. Mais par sagesse et compréhension, la population comorienne, notamment de l’île de Nagzidja, reste toujours dans la patience pour ne pas tomber dans le piège du mollah.

 

Mais car ces tueries n’ont pas déplacé la montagne, le président Sambi multiplie les bravades en changeant de tictaque. L’arrestation du général Salimou et la mise à la retraite anticipée de certains officiers de l’armée… Mis à par les manigances du chef de l’Etat, le président de l’assemblée nationale, voulait mettre de carburant au feu. Car, le général, ex-chef de l’état major de l’armée comorienne est originaire du village de Dzahadju-hambou, le président de l’assemblée nationale, s’y est rendu le vendredi pour selon lui, leur signifier son mécontentement. Mais son étoile brillait pendant la journée. Repoussé par des représailles et du grand mécontentement de la population de ce village. Sans doute, sa présence à Dzahadjou, est prise pour une provocation. Mais heureusement, rien difficilement éclaté.

V.S. Mchangama

Bambao-COMORES

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