Comores, SOS Voyage présent aux Comores et largué par les citoyens.
22 avr. 2010
Pas bullant que le passage du zéphyr, le SOS Voyages aux Comores est à nouveau aux iles de la lune. Sa présence est à l'insu de nombreux comoriens. Une présence qui est jugée aussi moins importante aux moment où, aucun écoute de leurs revendications de la part du gouvernement des Comores et surtout ce moment de son imbibe dans la question politiquement politique de la prolongation du mandat du chef Sambi. Selon les dires de quelques uns des citoyens comoriens informés de l'arrivée de cette Association aux îles, « qui est encore envoyé où qui s'est auto proclamé chef du file pour une prochaine recolte après les 21000 euros escroqués par Farid et les 4 billets d'avions par le feu MOMO ? » Le nouveau visage, du porte parole de cette association, semble un peu de confiance, mais le pire est déjà là. Une association tant attendue par les comoriens des Comores et de France, il y a deux ans comme crédible... passant sous la présidence de Farid Soilih et qui l'a mise en veilleuse sans aucune préjudice ni transparence des travaux... est loin de bénéficier cette fois-ci, le soutien des comoriens de tout bord.
L'heure n'est plus aux illusions. Il faut que justice soit rendue, et il faut que Farid Soilih paie de ses actes pour que confiance soit donnée. Les comoriens en ont assez d'être pris pour des idiots par les leurs. Avant d'entamer toutes démarches jugées aussi nécessaires, l'affaire yéménia Airwaiy qui est presque enterrée, doit être sortie de la tombe. Accuser la reprise de service du vol Yéménia, n'est pas la solution. Il est vrai que ceci ne doit pas être repris mais faible est la raison, sachant que les enquêtes menées n'indexent pas qui est le vrai responsable de ce drame. SOS Voyage aux Comores qui restait pendant deux ans « shandza shomelea » doit se laver, avant de se représenter aux audiences.
Un SOS Voyage qui se repose sur les mensonges du chef de l'Etat comorien, du vice-président chargé des transports au moment de la naissance du mouvement Idi Nadhoim et de son président Farid Soilh avec la complicité du feu Momo ainsi que Délégué... n'a aucune raison de reparaitre comme si de rien n'était. Alors ceux qui connaissent le nouveau porte parole de cette association ignorant ses revirements et son périple depuis sa naissance à Marseille en juillet 2008, le conseillent: il ne faut pas qu'il se veuille supermen au sein de cette association détruite depuis son jalon et que nombreux des connaisseurs du dossiers de trouvent à l'écart . Il ne faut pas qu'il rate l'occasion de sortir si tôt et si propre. Mais la question, reste. Y a t-il toujours des exploités sur Marseille, Paris et Lyon qui cotiseront continuellement des sommes pour cette association ? Si oui et quand donc les comoriens vont prendre conscience de leurs malheurs ?
Loubna S. ABDALLAH
Moroni - COMORES