imagesCA2IEDGHRien ne se passe, rien ne se passera. Le mal est fait, est fait. Le Roi raté de l’éternité du pouvoir Ahmed Abdallah Sambi a vendu la dignité des Comores au prix qu’il voulait, alors mission accomplie. Il y a pire que Sambi, même si les siens savent très bien que leur GOUROU est de mauvaise foi. Il est à rappeler que lorsque l’un des enfants du pays, Said Dhoifir Bounou, président de l’assemblée nationale des Comores sous Sambi, a refusé de présider la séance dont l’objectif spécial est la vente les citoyennetés comoriennes, sous prétexte des citoyennetés économiques, l’ancien député issu du mouvement CRC, le professeur Ibrahim SIDI, a assumé la pleine responsabilité et devenait par la suite président de la séance. N’est-ce pas un pion de Sambi ? Si. Mais dommage, Sidi est bien roulé dans la farine par le plus malin, sacré Sambi. Une fois que les citoyennetés sont vendues, il a empoché les sous dans sa poche, et dit :« Ka vwantsi mpesa wa nnya ».

 

Alors, qui peut se dire ne sachant pas qu’un arabe de sens, un arabe d’importance, un arable aisé, un arabe honnête, un arabe productif… n’a pas besoin d’une citoyenneté autre que la sienne ? Alors, ces quatre mille familles arabes, agaçant leurs pays d’origine par des malversations et autres, n’ont un décharge que les Comores. Quand en Afrique, on parle d’armes contre nourriture, aux Comores, on a parlé de la dignité contre argent. Enfin, et maintenant que Sambi et les siens se sont enrichis par la sueur et la dignité des comoriens et que tout le monde est percé de ce délits, ce charlatan refait toujours surface synonyme d’une défie à la population qui a fait de lui président.

 

Enfin, ces hommes non désirés chez eux, c’est-à-dire ces arabes des Emiraties Arabes-unies… parmi lesquels des voleurs dans des magasins, des braqueurs… ne sont pas le premier acte sordide commis par les hauts placés de l’Etat comorien. Il y a quelques moments, des voleurs comoriens, de nationalité, ont braqué des magasins à Duabaï, mais sont d’origine arabe. Et ces informations connues par de nombreux comoriens, n’ont pas fait échos aux îles Comores. Donc Sambi a eu raison de manipuler ses députés et des hauts de son régime, pour vendre l’identité nationale en sa faveur… après avoir su que rien ne sera contre lui. Ni justice ni clabaudage. Donc, ll a agis de sa conscience tranquille.

SAID AHMED Djaffar

(COMORESplus)

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