Comme Said Ali Chayhane, a déstabilisé le pouvoir, Ibrahim Ali Mzimba a déstabilisé l’opposition. Il y a quelque peu de temps de la mise en ligne de ce papier,  ce titre faisait le plein des lignes. En tout cas, le respect à l’opinion, est le meilleur chez l’homme. L’homme en « H ». En tout cas dans une lutte, il y a les hauts et les bas, il y a les creux et les monts, il y a les chicanes et les sources… Donc des outils ou des cailloux dans les chaussures. Des alliés et des contrastes se fabriquent à travers des opinions, des valeurs… et même des intérêts, qu’il soit personnel ou général ou des circonstances. Passons.

Je préfère Said Ali Chayhane à Ibrahim Ali Mzimba dans une opposition.

Chez l’être, la mort est obligatoire. Sinon entre mourir victime de quelqu’un et mourir victime de soi-même, être tué est préféré à se suicider. Cela fait bientôt cinq ans depuis que notre lutte contre la tyrannie aux Comores est engagée par des comoriens, notamment de l’extérieur. Mr Said Ali Chayhane, qui par sa contribution à notre lutte contre le pouvoir tyrannique, m’a rappelé un mot que feu Mouzawar Abdallah m’a confié et selon lui, qui lui a été confié par le feu Said Yassine, père. « Kairi umani wa mwando wa ndrongoo hau mwiso wa ndrongoo. Umani wahari mwa ndrongoo, uyo mtrio ndrongoo shonga ». Said Ali Chayhane, si ce n’est pas la stérilité de l’opposition comorienne, nous aurait aidés dans cette lutte. Lui qui a manié pour l’effondrement par le démembrent de son parti, la CRC, l’équivalent des tontons macoutes de Duvalier». Acte qui n’est pas en essaie. En accord avec Idaroussi Hamadi « mngu namrehemu », son ennemi intime, Chayhane a fait… pour évincer Djaffar Ahmed Said et Maoulana Charif. C’est à partir de quoi, il commencé à écorner la CRC. Dans son œuvre, Idi Boina est amputé du parti même si au final, Idi est aussi stérile en politique. Chayhane un bon gâcheur du parti fitnocratique, la CRC dans le Bambao. Lui seul a pu vulnérabiliser Mohamed Issimaila, en le rendant le clown de la République et enterrer Azhar, ancien directeur de l’ONICOR. Aussi, jusque ces jours, si  Kamaldine Soeuf, est en difficulté, ainsi que quelques courtisans de la dynastie à Ikoni, c’est bien l’œuvre de Said Ali Chayhane. En tout cas, il a beaucoup aidé à l’effondrement de la fitnocratie dont il fait partie des fondateurs, la CRC, qui devrait pas se dissocier à la chutte d’Assoumani Azali, même l’opposition au régime fitnocratique est inféconde. Passons.

Je préfère Said Ali Chayhane à Ibrahim Ali Mzimba dans une Opposition.     

Le 24 mars 2019, comme tant d’autres des siens Ibrahim Ali Mzimba s’est présenté candidat aux présidentielles, tout en sachant qu’Assoumani Azali, n’allait pas organiser des élections. Sans surprise, les faits se sont produits. Ses pairs se sont miss à mener une lutte, quels que soient le fond et la forme. Soudain, « ce super intelligent, l’unique intelligent » de son pays s’est éclipsé notoirement, en congédiant la politique… « je me retire de la scène politique ». Devenant par la suite, un dilettante mais allié sous terrain d’Azali. Le détail, tout le monde l’a. Les dires étaient nombreux et massifs, dans des Comores aussi minuscules qu’atomes. La confirmation était pesante, autre forme était médiocre. L’inauguration d’Alcamar Lodge, faisant la joie et l’air des membres du pouvoir. Et cela devrait être cernée même si à la loupe. Pour éviter les préjudices chez les capricieux, on se pose sur des faits. Pour la première fois de la lutte contre Assoumani Azali, une opposition a failli se solidifier. Avec sa conscience Mzimba, s’est parachuté depuis nulle part, avec le toge d’un opposant au régime, puis manier pour sa cause. En peau de technicien, l’homme a su, imager un Front Commun élargi alors que le Front Commun tout cours avait ses assises et ses partenaires. On peut dire ses composants. A l’intérieur de ce Front, il a pu y semer le bouillonnement jusqu’à ce que le doute entre membres composants du Front Commun soit installé. D’autres partenaires qui ne sont pas au total Front Commun, les collectifs, commencent depuis « les dissidences » de Mzimba, ils ont commencé de prendre dissidence.  Sans longue durée, la fissure de cette structure. Osons le dire. Deux Fronts Communs depuis l’adhésion de zimba, dans cet ensemble. Donc Front Commun élection et Front commun non élection. Les non élections prennent le Front Commun élections pour un gage suicidaire, donc une « légitimisation » d’Assoumani Azali, les pour élections accusent les non élections de cautionner la tyrannie par une inertie. Ila réussi sa mission, en tout cas. Revenant à ses vocaux, celui avec Sabikia, considérant l’organisation du Front élection « de    superflu » et celui avec Dr Salim… dosé d’un savoir qu’Azali n’organisera pas d’élections… mais ils insiste pour y aller, c’est un marteau qui a démoli l’opposition. Passons.

Said Yassine Said Ahmed

COMORESplus

 

 

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