Un jeune, un emploi, Comores pays émergent, horizon 2030. Il y a des espoirs qui font vivre des imbéciles. 2030, de cela, il faut six ans. Il faut six ans pour un pouvoir qui existe depuis sept ans dont les réalisations ne sont qu’amères. Les vraies réalisations se produisent sans bruit. A force de dire qu’on va faire ce qu’on ne fait pas, un peuple Saint-Esprit, finit par se rendre compte. Mais le comorien est devenu quel genre d’humain ? Ce peuple qui ne connaissait pas la notion individu, a complètement perdu ses valeurs avec des citoyens qui ont complètement perdu le Nord. C’est bien le pays où un mort d’un des leurs, affectait tout un peuple. Ces derniers temps, depuis la naissance du régime fitnocratique de CRC et Compagnie, la notion humain prend congé du comorien. Des dates importantes qui devraient interpeller tous les comoriens, s’éclipsent à la vitesse lumière, donc quittent la mémoire du comorien. Ce régime des sacrifies humains, au respect de son pacte avec Satan offre des humains et leurs mœurs aux diables.

«  Une justice dans les mains du satanisme »

Quelques dates et drames, parmi les drames dans la bourriche des fitnocrates aux Comores. Le 5 Février 2018, le jeune Karim Aladin est retrouvé mort à Bacha. Ni en enquête ni justice… donc la justice a pris sieste. Comme des prisons sont devenues des lieux de fin de vie, le 1er octobre 2018, suite à un séjour à la prison de Koki, Mr Naili, un jeune pêcheur de Mutsamudu, a succombé à ses blessures. Toujours la justice et la gendarmerie dans leurs sommeils profonds. Le 16 Octobre 2018, douze jeunes auraient été tués par balles à Mutsamudu, notamment à la médina, sous prétexte d’une compression à une rébellion contre le pouvoir. Ce coup monté par Assoumani Azali cinq mois de son élection de mars 2019 pour pouvoir justifier l’arrestation du gouverneur Salami afin d’assujettir l’ile d’Anjouan, a été agencé par M.S. Hafi, ministre de la jeunesse de ce moment. Une élection qui a fait des morts et des blessés. Et quelques jours après une libération contrefaire de l’ile a fait venir Assoumani Azali dans la Medina avec des souries joviaux. L’histoire de vwadju, où quatre personnes sont trouvées mortes dans un citerne, le 22 novembre 2018. Trois garçons de Hambu ya washili et une fille de Mbeni. Un meurtre, a bouleversé un monde, le 9 décembre 2018, Hamada Gazon, un jeune d’Ikoni a été ôté de sa vie par balles des milices d’Assoumani Azali. Une fuillade qui a fait aussi huit jeunes blessés dont quatre graves. Le 28 mars 2019 au camp militaire de kandani, par ordre du « chef », Fayçal Abdoussalam, Nesser Abdourazak Moutu, Nassor Salim sont affreusement assassinés par balles. Le 18 juin 2019, une jeune femme est retrouvée morte à Magnassini-Ndzuani, violée, torturée et décapitée. Ensuite, le 26 Septembre 2019, l’huissier de justice Mr Afretane Abdou Halidi, est retrouvée sans vie à Mirontsy-Anjouan. Le 19 décembre 2019, à Moroni, une jeune fille de Singani, âgée de 19 ans, a été retrouvée morte dans son domicile. Le corps de la presse comorienne a été touché dans son fond, le 31 janvier 2020 le journaliste Nakidine Hassane, deux mois après sa rentrée de Paris, à l’issu de la CPAD…, est mort subitement et le pouvoir devrait s’  inquiéter... mais hélas. Lui qui était attaché de presse au ministère de finances du moment du fait. Samedi 2 Mai 2020, le Dr Ahmed M. Djaza, alors président de la CENI, est retrouvé mort à son domicile à Moroni-Ambassadeur. Des soupçons sont vifs. Le 24 novembre 2020Ibrahim Mhadjou, un gendarme de Domoni Mbadjini est mort en prison après y etre torturé. Et le samedi 12 décembre 2020, le journaliste, Ali Abdou est trouvé mort à son domicile. Et toujours la sombre remplit le paysage comorien… Ali Abdou dont la mort est mystérieuse, donc n’est pas naturelle, selon les mots du procureur du pouvoir Mohamed Abdou.

« Nouvel an 2021 à la CRC »

Du 31 décembre 2020 au 1er janvier 2021, l’ancien ministre Bacar Mdahoma, est retrouvé sans vie après être porté disparu. Ensuitele 8 février 2021, Mr Hassani Mnémoi est retrouvé mort à son domicile à Moroni. Lui ayant un litige avec la gouverneure de Ngazidja, Sitti  Farouata. Et c’était la nuit du 6 au 7 Avril 2021, que Hakim Said alias Bapalé, est horriblement assassiné au camp militaire de Sangani. Mort suite à des tortures. Il est enterré dans des manières sataniques. Le 8 mai, la petite Fayna Rahim a été violée et assassinée. Les 18 mai 2021 Hamada Msaidié est assassiné à NdzaouzeLe 20 février 2022refusé des soins, un détenu au nom de Dhoulli Toukaidine est mort à la prison de Koki. Le 24 mai 2022, un corps d’un jeune homme a été retrouvé près de la Meck de Moroni. Le 8 novembre 2022, le corps pendu d’Abdou Hadhrami a été retrouvé mort à son toilette à Ongojou-Anjouan. Le 9 novembre 2022, une femme est retrouvée morte à Mremani-Anjouan. Le 16 novembre 2022, une femme retrouvée morte entre Mtsamdu et Itsinkudi washili. Le dimanche 26 février 2023, à la gendarmerie de Moroni, le jeune Aymane Nourdine a été torturé et botté et quelques heures plutôt, il a rendu son dernier soupire, à la gendarmerie… Le 10 mai 2023, un jeune homme de Tsembehou a été retrouvé mort à Pomoni. Le 23 octobre 2023, deux jeunes anjouanais, sont retrouvés morts à Porini Moroni. Après le passage des autorités judiciaires… tout est évaporés. Le 28 novembre 2023, après être tiré dessus par une miliaire du pouvoir, le 21 novembre de ce même mois, le jeune Fahad Moindze d’Irohe, a succombé à ses blessures. Le 1er décembre 2023, un corps sans vie d’une jeune femme probablement violée est retrouvé à Madjaya djuu Moroni. Le 14 décembre 2023, un corps a été retrouvé dans un champ à Mvouni Bambao. Le 16 décembre 2023, Mohamed Saïd Ali est mort à la veille de l'ouverture de la campagne pour l'élection du Gouverneur, alors qu’il était candidat. Enfin le 18 décembre 2023, un homme a été retrouvé mort à son domicile à Moroni. Sans enquête aucune, le pouvoir et sa justice prennent un raccourci truffé de farces. Même s’ils ont tué à la mosquée, mais la victime est morte par substance; chimique… Et seul ce mort suffit comme enquête. Pour l’éternité au pouvoir, le régime fitnocrate, assomme la justice et le seul ordre c’est de traiter ceux dont il a envie. Ô combien, écervelés, sont ceux qui prétendent qu’Assoumani Azali, fera mieux que tuer des innocents, notamment les jeunes ? 

Said Yassine Said Ahmed

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