Il y a huit ans depuis que la dynastie Azalienne est à la commande par coup de cravache au peuple comorien. Un poignet d’hommes et de femmes sans aucun sentiment envers ce peuple, prend le pays en otage. Un quotidien stagnant voire même inexistant. Education, santé, infrastructure, culture, religion, entente, Paix, tradition, valeurs… tous sont anéantis. Aussi une liaison entre le régime du moment et Azali-1, les exécutions, donc les assassinats des innocents. Un homme à deux régimes barbares, c’est donc  l’homme qui est mauvais et sanguinaire. Azali choisit ses semblables, en tout cas des hommes et femmes sans scrupule, dont le critère n° 1, être inhumain. Idriss Said, Cheick Salim, Nourdine Abodo… servent d’exemple. Avec des résultats illicites donnés plus de deux jours après les élections. Cette Ceni qui ne peut faire autrement que c’est que Azali lui a demandé, a attribué 62, 97%, sur 6 candidats. Le mépris de trop. 62,97% attribué à l’homme le plus détesté par son peuple du siecle, Assoumani Azali.

« Et le secte de la 5èmeB ? »

Depuis mai 2016, les Comores marchent avec leur tête. Désespoir, panique, climat de terreur, donc un pays instable. Des méfaits dont l’artisan est Assoumani, sa famille et ses amis, parmi lesquels, les élèves de la 5ème B au Lycée de Moroni des années 71-72. Même si l’on parle d’Azali comme commandant du vaisseau de l’angoisse, mais ses amis qui fortifient les racines du mal de ce régime, issus de la 5èmeB. Said Bakar Mlantrede, Abou Oubeid, Moindjié Saandi, Assoumani Aboudou Salam, Mze Aboudou Mohamed Chanfiou et tant d’autres, rajoutés des quatre vongtdisards tels que Houmed Mdahoma Msaidié, Bianrithi Tarmidhi, Hamada Madi Bolero, Sittou Ragda Mohamed, Abdallah S. Sarouma… pour ne citer que ceux-là. Une équipe des fitnocrates qui profane un pays et un peuple.

« La mission du régime démoniaque »

Ce régime qui n’a pas hésité de signer un pacte avec Satan, a pour mission, rendre les Comores en graviers. Rendre les Comores à feu et à sang moyennant une richesse sélective des têtes individuelles et leurs familles ainsi qu’une longévité dans le pouvoir. Peu sont les familles qui n’ont pas de victimes des pouvoirs d’Azali depuis 1999. Azali l’homme matinalement aigri n’a rien de plaisir dans son cœur que le croulement du sang des humains et des cadavres qui jonchent le sol comorien tombés sous les balles des forces de l’ordre. Et pourtant à son côté un Mufti, des cadis et des Ulémas. Sans doute quelqu’un qui a reçu une balle dans sa tête même si une balle en caoutchouc, sa chance de survie est moindre et n’en parlons plus les balles réelles.

« Qu’ils se régalent des sacrifices humains »

C’est pour cela, que ses milices quand elles tirent sur des jeunes, des manifestants ou…, elles visent la tête. Hamada Gazon, Fahad Moindze et Muslim Ahmed Mkufundi, servent d’exemple. Des jeunes innocents tombés sous les balles des joyeux. Non seulement cette atrocité mais aussi le mépris à ces morts et leurs familles, œuvre de Houmed Mdahoma Msaidié, Djae Hamada et Oussoufa Belou. Ces profanateurs fitnocrates, chosifient l’humain. Comme leur chef, leur seule respiration c’est l’argent. Et la notion humaine n’a pas de sens chez ces vermines. Plus de trois cent personnes sont tuées par le régime en place, parmi lesquelles, des fusillés, des morts suite à des tortures en prison ou dans des camps militaires… et les tous servent des sacrifices humains. Tandis que la Ceni, suit son cour de dédaigner les comoriens.

«  Avec les fitnocrates ? le chemin de non retour »

Ce mercredi 24 janvier 2024, les Comores s’enfoncent. Les fitnocrates sont toujours dans le pouvoir. La Cour suprême d’Assoumani Azali, sous l’égide de Cheick Salim, Nourdine Abodo, et son président Rafik Mohamed, a reconduit le régime du mal, qui a pactisé avec Satan. Craché dessus le peuple comorien, cette Cour a déclaré Assoumani Azali élu à 57%. Ce régime démoniaque, prétend achever l’œuvre qu’il a commencée dont les tueries, les répressions, les vols de l’argent publique et le mépris à son peuple. L’élection d’Assoumani Azali comme président du régime en place aux Comores, est la calamité du peuple comorien. Comme en 2919 à Mitsudje, Azali a dit : « on va leur couper les têtes » et qu’il l’a fait, à Ntsaweni, Oussoufa Belou vient de dire que lui et Youssouf Idjihad, continueront le sale boulot, donc des arrachements. Sans doute un régime qui a fa à son peuple, a du mal à s’en aller. C’est le cas du régime, qui reprend ses effets pervers…

Said Yassine Said Ahmed

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