IMAG0054Une peine qui risque d’être inaltérable. La privatisation de Comores télécom n’est qu’une euthanasie illégale. Ce crime, est d’une sorte de vin ayant l’appellation de « Mort subite ». Depuis l’ère Sambi l’arrêt de mort de Comores télécom a été signé mais, cette société a été plongé dans un coma artificiel. Les artisans qui jalonnaient ce crime sous Sambi, sont les mêmes qui ont juré d’achever leurs missions dans ce régime en place dont Monsieur finances, privatisations et Monsieur Banque mondiale. Il est attendrissant de voir la seule et unique société d’Etat comorienne, seule qui respire, évaporer dans les mains de non comoriens, sous forme de privatisation. Oui la privatisation est un acte légale, mais dans le but de sauver une société qui est en voie de disparition.

Comme a dit, François Mitterrand, on  ne sort pas une équipe qui gagne. Mais pourquoi, veut-on priver de la société Comores télécom sa fierté d’être comorienne ? Pourquoi, les bakchichs, les pots de vin, chez les négociateurs dont quelques membres du gouvernement, continuent à anéantir les sociétés d’Etat comoriennes ? Quand est-ce que l’indignation sera accueillie sur le sol comorien par le peuple comorien ? Quand est-ce ces rapaces payeront de leurs actes ? A l’heure actuelle, ces questions sont sans réponses. Pourquoi le vice-président en charge de finances et les différents conseillers…, en somme les messieurs « tunes du peuple » qui ne cessent pas de s’affecter dans les différents murs de l’administration comorienne depuis… des années, s’acharnent toujours contre la vie de Comores télécom ? Pourquoi d’autres sociétés malades comme la Hi-nyo (Hidza na Nyora), l’hôpital El-maarouf,  le service de l’immigration, l’aviation civile, la Cosep, la justice, l’AND, la présidence, l’opposition comorienne, le muftorat… échappent à la privatisation ? Pourquoi les autorités du régime en place cherchent de solutions là où il n’y a pas de problème ? La privatisation de Comores télécom, seule société d’Etat en vie aux Comores, n’est qu’un crime contre la vie de tous les citoyens. Mais les comoriens doivent savoir que cette politique qui ne date pas du moment, dont l’œuvre de Monsieur Banque mondiale et Monsieur finances privatisations… est dans le but de rendre les Comores un endettée eternel auprès des institutions financières mondiales. Donc mission presque accomplies.

Une mission venant de loin.

C’est pour cela que ces derniers n’ont jamais connu ni chômage ni reproche. Récompenses venant de loin. Aucun prétexte valable ne doit tenir bon, au moment où on sait très bien que cette privatisation n’est qu’un tuyau vers des canaux. Mais le bon Dieu reste toujours l’avocat des exclus. Les douleurs causées par la mort de Sococom, de Sonatram, de Socopotram, de Comores import, d’Air Comores, de SNPSF… se réveillent et voilà que ces autorités que le peuple fait, qui rendent les Comores en coquilles vides. Le plus atroce aussi est que ceux auxquels, les chargés de finances des régimes… confient les sociétés d’Etat comoriennes ne sont que des larrons, gredins… comme ceux qui servent d’exemple, Hashley pilleur de l’Air Comores, Bolloré forban du mort de Moroni, Samlex pillard de la Ninyo… et le plus grand sacripant Bashar Kiwan.

Enfin le gouvernement comorien, voulant mater la colère des agents de cette société, il utilise la ruse selon laquelle, le personnel de Comores télécom sera actionnaire de 15% après une privatisation. Cela n’est qu’un dindon de la farce. Pourquoi avoir peur et continuer à mentir au moment où on est détenteur de tous les pouvoirs. Le vice-président en charge de finances, qui est sans doute le ministre des privatisations, le conseiller à la présidence chargé des privatisations… fiers de leurs œuvres ne doivent pas rester sans savoir que la vérité d’aujourd’hui est le mensonge de demain. N’est-ce pas un arbre épineux planté pour les années à venir ? Que la conscience avale l’âme car trop c’est trop. Il est temps d’arrêter de prendre les comoriens pour des mongoliens. Les plus d’un millions de larmes et des cœurs froissés… causés par les escroqueries et les pillages… feront leur besogne et voilà, tous confiés au bon Dieu. 

SAID YASSINE Said Ahmed

COMORESplus           

 

         

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