S’elle n’était pas telle qu’on la connaissait, l’ancre n’aurait pas coulé de la sorte. Ce mois de Mai 2017, plus précisément le 16, devient l’un des moments les plus tristes de plusieurs pôles aux Comores. La presse comorienne, les femmes en combat, les enfants soutenus… Mme Samia Bounou, a rendu l’âme et gagne sa demeure éternelle, en laissant des cœurs crispés et rongés par le chagrin. L’île de Moheli, de même comme sa famille est en deuil.

Ce vide majeur dans la presse comorienne et dans certaines instances que Mme Samia Bounou a laissé par son congé éternel, est loin d’être comblé. Femme de qualité, de rigueur, Samia Bounou, était une femme de plume et de flamme, dont la disparition est une grande perte de la presse comorienne dans son ensemble. Le produit rare chez la femme comorienne dont elle disposait, c’est-à-dire la fougue, faisait d’elle une femme différente. Et ça, tout le monde en parle.

Car un être humain, une fois éteint, n’est jamais remplaçable, c’est auprès de la famille de notre consœur Samia Bounou, son mari, ses enfants… que l’équipe du journal COMORESplus, présente ses sincères condoléances. Que le bon Dieu l’accueille dans son paradis, amen.

La Rédaction

COMORESplus

 

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